1. Fessée interdite


    Datte: 22/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Humour,

    ... autres parties de son corps dont je connaissais chacun des replis intimes et chacune des fragrances, pendant qu’assise sur le sofa, elle lisait des romans érotiques ou regardait la télévision : souvenez-vous, le dimanche soir, sur M6, dans les années 80… Ou bien encore, elle feuilletait les revues pornographiques que je lui offrais, dans lesquels se trouvaient des photos et des histoires de jeunes garçons nus recevant différents châtiments de la part de femmes matures et habillées. Tout cela l’excitait beaucoup et l’inspirait afin de m’infliger différents sévices plus sévères les uns que les autres. Internet en général et XHamster en particulier n’existaient pas encore, mais aujourd’hui, dans sa maison de retraite, elle en est une fervente usagère et ne s’en cache aucunement.Maman a pris la clé dans son sac à main, et m’a libéré le sexe qui était douloureusement comprimé. Aussitôt, chacune a pu constater que je bandais. Mes deux cousines regardaient en direction de mes génitoires. Je n’avais pas éjaculé depuis un mois, et j’en ressentais la nécessité urgente. Maman et tante Catherine ont trouvé cela charmant.— Tu vois, a dit Maman en désignant ma verge, ce coquin a bien grandi ces dernières années, surtout là.— Oh, quel polisson, s’est exclamée Catherine !— C’est vraiment indécent de nous montrer ça, a complété Léa !— Quel satyre, a conclu Daphné ! Tu n’as pas honte, Stéphane ?Si, j’avais honte de ma nudité et je rougissais très fort, au bord des larmes, ce qui comblait ...
    ... chacune d’une joie diabolique. D’un geste rempli de perversité, ma mère a attrapé mon sceptre en essayant de l’abaisser, comme si cela aurait pu faire disparaître ma bandaison. Naturellement, cela a produit l’effet inverse : j’avais à présent la tumescence d’un cerf au moment du rut d’automne – c’était d’ailleurs au moment des vacances de la Toussaint. Les deux mamans m’ont tripoté un long moment, en comparant à haute voix mon anatomie à celle d’autres garçons.— Et ce n’est pas tout, a dit Maman. Penche-toi en avant, mon chéri. Je vais t’enlever ton plug, pour que tout le monde le voie.En effet, je portais un plug anal qu’elle m’avait offert pour mon anniversaire, et qui avait pour effet de renforcer mon excitation sexuelle. Il était énorme et massait ma prostate en permanence, ce qui ne faisait que redoubler la cruauté de la cage pénienne.— Allez, mon grand ! Allonge-toi sur mes genoux pour que je te donne ta fessée. Tu n’en mourras pas, et puis, ça t’apprendra la vie et ses injustices.J’ai obtempéré. En fait, j’aimais bien être fessé : même si j’avais (un peu) mal, cela me procurait une chaleur très excitante qui compensait largement la douleur que j’éprouvais lorsque mes fesses devenaient toutes rouges. Elle a claqué dix fois, comme d’habitude, mais plus fort qu’à l’accoutumée. C’est moi qui ai compté les coups. En d’autres occasions, elle m’a imposé de compter en anglais ou en allemand, afin de me faire réviser ces langues pour le bac. Je crois qu’elle éprouvait une furieuse ...