1. Juste considéré comme un sexe pratique


    Datte: 10/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... doucement, tout lentement et touche le fond. Reste là, ne bouge pas, j’adore cette sensation de plénitude. Embrasse-moi. Dis-moi que tu m’aimes. Comme elle y va. J’aime ce que je lui fais, j’aime sa disponibilité, c’est déjà bien. Malgré tout, je lui fais plaisir et je murmure dans son cou « Je t’aime ». Elle me couvre le visage de bisous fous, ses yeux brillent, ses mains me pressent sur elle. Elle ramène ses jambes et ses pieds sur mon dos lorsqu‘ils glissent. Le mouvement fait lever ses fesses. Un courant étrange me parcourt pendant cette pose immobile. Pourquoi se met-elle subitement à haleter aussi fort. Et c’est parti, elle vient cogner mon pubis, se met à gigoter, à bouger en tous sens. Je suis fétu de paille sur la vague de sa jouissance et elle éclate en sanglots, elle me supplie : - Baise-moi fort, prends-moi, je suis à toi, oui-iii, je t’aime ! Encore… Oublie-t-elle qui je suis ? Ses cris ont réveillé Louise. - Hé, vous deux, ne vous gênez surtout pas. Hervé, tu n’as pas le droit de me voler ma poupée, laisse-la, descends, sors de son ventre. Elle est à moi. Il est trop tard, Nora jouit, j’éjacule : je n‘entends pas la voix de ma femme, mes yeux captent son expression autoritaire. Nora ne défait pas l’étreinte et proteste : - Laisse-nous tranquilles, j’en avais envie, besoin, trop besoin. Que c’est bon une queue d‘homme ! Ah ! Si tu savais comme ça m’a manqué. - Je sais ! Mais c’est mon homme. C’est mon homme, tu ne le baises qu’avec mon autorisation. N’essaie ...
    ... pas de me le piquer. Et toi, Hervé, ne t’avise pas de la sauter quand je ne suis pas là. Dans l’intonation pointe un soupçon de jalousie. Je vole sa poupée ! Louise me pousse, se jette sur Nora, l’embrasse, la cajole. - Dis-moi, ma chérie, il t’a violée ? L’homme seul, minoritaire entre deux femmes, le possible coupable, c‘est moi. Je ne suis pas allé la chercher cette Nora. Heureusement, Nora est toute gratitude : - Mais non, je suis venue pour faire l’amour avec lui. Tu dormais, nous ne t’avons rien volé. Si tu veux ton tour… Veux-tu me lécher ? Il m’a remplie de foutre. Elle exerce sur Louise une emprise étrange . Ma femme cède. Moi, je n’existe pas,Louise reprend possession de sa maîtresse, l’entraîne à la salle de bain. Je l’entends adresser des reproches : - Tu es à moi. Je te prête à Hervé, tu ne dois pas le préférer à moi. Pourquoi as-tu quitté notre lit ? Lave-toi et reviens te coucher avec moi. Moi aussi j’ai besoin d’être aimée. Besoin d’être aimée ? À quoi sert le mari ? Donc le paradis connaît des turbulences. Tout n’est pas aussi lumineux et clair. Louise établit une hiérarchie, elle a des priorités, elle prête ou l’amante ou le mari, elle régit les rapports, elle est la maîtresse. Trop heureux de ne pas être totalement évincé, je fais profil bas, je me recouche et je me rendors. Qu’elles règlent leurs problèmes. Elle n’est pas mal cette Nora. Louise, elle est exquise, mais… trop possessive. Au repas de midi, la paix semble revenue. Ma femme m’embrasse, met Nora ...