1. Juste considéré comme un sexe pratique


    Datte: 10/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... dans mes bras pour un bisou. Cet après-midi, elles ont prévu de me donner un spectacle. Assises face à face aux deux extrémités du lit, elles exécutent un strip-tease en musique et annoncent un concours dont je serai le juge et le prix. La première qui se fera jouir avec ses mains pourra m’utiliser et l’autre sera à sa disposition. Qu’est-ce qui les met le plus en joie: les doigts qui fouillent leur sexe, le regard que chacune fixe sur la masturbation de l’autre ou ma présence silencieuse de voyeur désiré, condamné à s‘exciter ? Jamais pour moi Louise n’avait accepté une exhibition de cette nature. Elle protestait : « Oh ! Non. Laisse ça aux gamines. Je ne me masturbe plus, tu es là pour me faire jouir, tu es mon mari. » Tout change depuis que Nora est officiellement l’amie de Louise. Les formes anciennes de pudeur sont abolies, tout est permis, tout peut se montrer. C’est beau une femme à la recherche du plaisir. Il y a la mécanique de la masturbation, les poses, les manœuvres apprises ou instinctives; mais le plus émouvant est de pouvoir lire sur le visage et dans les yeux la montée lente du plaisir de la chair tourmentée. Toutes deux se prêtent à cet examen, oublieuses de l’environnement, mais elles se surveillent. Chacune veut vaincre pour la gloire et pour pouvoir être la première à faire de moi l’outil de son prochain orgasme devant l’autre. Une compétition à peine voilée s’établit entre les amantes. Les frissons annoncent l’aboutissement de l’épreuve. Louise ...
    ... emporte le prix et Nora vaincue va nous servir lorsque nous nous accouplerons. Ainsi on me couche sur le dos, Nora est chargée de me masturber et de me tailler une pipe pour obtenir un gourdin solide. Louise lui tend la croupe et Nora, ma bite en bouche, doit lui mettre deux doigts dans la chatte. Louise s’installe sur ma pine, dos tourné, se laisse aller en arrière, ses dorsaux contre mes pectoraux, ventre bombé et réclame mes caresses sur ses seins et les attouchements de l’index et de la langue de Nora sur son clitoris. Elle triomphe, nous lui sommes soumis. Le dimanche après-midi, l’infirmière est de garde. Louise et moi récupérons après deux jours et deux nuits de folie amoureuse. Louise veut savoir à quel point j’apprécie d’être aimé et choyé sexuellement par deux femmes à la fois. Je serais un privilégié à l’entendre. - Ai-je le choix ? Qu’arriverait-il si je m’avisais de refuser la présence de Nora ? Embarrassée par ma question, Louise esquive : - Il n’est pas possible que tu puisses imaginer cette solution. Pourquoi ne sais-tu pas apprécier pleinement de tels avantages ? Je serais peinée de revenir à la situation antérieure, j’ assume ma bisexualité et je ne veux plus devoir me cacher de toi, mon mari adoré. Si j’ avais su, je t’aurais renseigné dès mon premier rapport avec Nora . On est si bien à trois . Elles sont si bien à deux. Voilà pourquoi pendant un certain temps, je feins de vivre et de nager dans le bonheur. J’ai le sentiment d’être parfois si bien quand elles ...