1. Une duchesse qui attirait le regard... uniquement le regard?


    Datte: 24/12/2018, Catégories: fh, couple, amour, volupté, pénétratio,

    ... fulgurante ascension sociale. Si elle appréciait certains cotés de son mari, et ne se déplaisait pas spécialement en sa compagnie, Jaessa toutefois n’était pas une femme très portée sur la fidélité et les sentiments, ni même sur les ébats sexuels d’ailleurs. Jusqu’alors, son physique avait surtout été pour elle un moyen de promotion : au même titre que l’épaisseur du bras l’est pour la plupart des chevaliers, se justifiait elle. Bien qu’elle en retirait parfois du plaisir, les couches d’hommes qu’elles avaient partagées étaient surtout motivées par des perspectives d’avenir meilleur. Pour autant, Jaessa était loin d’être dénuée d’intelligence, et était parfaitement conscience que ses fesses seules ne pouvaient la servir autrement que de devenir une courtisane de luxe. Associant l’esprit, l’intelligence, l’ambition à ses formes et son sourire, elle avait parfaitement su choisir ses amants, gravissant rapidement les échelons de la société du royaume. Elle avait également rapidement pris conscience qu’elle ne devait pas être dominée dans ses rapports, et encore moins tomber amoureuse. À chaque fois qu’elle couchait avec un homme, elle avait réussi à mener la danse, et contenir ses ébats dans les limites qu’elle souhaitait. Il faut dire qu’à cet effet, elle avait réussi au fil du temps à perfectionner une technique qui avait rendu fou chacun de ses amants : la fellation était un art très apprécié et assez peu répandu, un art dont Jaessa s’était rendue maîtresse. Préférant ...
    ... prendre les choses en main (ou en bouche plus précisément) que laisser un de ses amants prendre l’ascendant sur elle, elle avait usé et abusé de cette spécialité qui lui permettait de dominer dans ses rapports. Il faut toutefois reconnaître qu’en dehors de ses qualités physiques (et buccales), Jaessa de Kern, jeune femme ambitieuse et exigeante, était à la fois compétente dans ses attributions, et dotée d’un caractère unique. Généralement souriante et attirante, elle était loin de se faire intimider par les hommes, et savait trouver les mots lorsqu’il fallait envoyer paître un guerrier un peu trop entreprenant. D’ailleurs, très peu nombreux étaient les personnes au courant de ses relations « amoureuses », qui l’avaient servi autant sinon plus que ses qualités intellectuelles. Ayant joué à la perfection de son pouvoir de séduction sur ses amants, elle s’assurait auprès de d’entre eux qu’ils aient tout intérêt à garder le secret sur leurs relations passées. Tout ceci contribuait à lui donner une réputation de jeune femme ouverte, désirable et attirante, mais également intègre et fidèle. Dans ce contexte, son mariage le duc de Kern n’avait choqué personne, et aux yeux du royaume eut presque l’apparence d’un mariage de conte de fées. Le jeune homme, de deux ou trois ans son aîné, était rapidement tombé amoureux de la belle aux formes attirantes, qui était alors son attachée aux affaires économiques. La jeune conseillère fit tout son possible pour d’abord attirer son regard (ce qui fut ...
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