1. Mais oui, c'était moi ! 1


    Datte: 26/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... l'incident resterait secret, inconnu, sans conséquences. Par malheur, le destin en avait décidé autrement ce jour où Jean m'avait surprise à ma sortie de la maison dont je détenais la clef, ce hasard l'avait incité à me surveiller. Il a tout su, il a tout vu et vous a presque tout narré. Je me croyais si peu coupable. Lui m'a vue incorrigible, il a désespéré, il m'a condamnée, comme certains lecteurs m'ont accablée dans leurs observations après lecture. C'est si facile d'exiger la perfection, de croire que la tentation n'existe pas ou que personne ne peut y succomber. J'ai été faible, une fois seulement. Car je ne compte pas comme faute le fait d'avoir montré mes seins et ma culotte à Greg la première fois: Combien de fois n'ai-je pas pratiqué les seins nus sur les plages alors que je ne portais qu'un mini maillot de bain ? J'ai reçu mon châtiment, un châtiment dur, long, cruel ( je l'ai déjà dit) et que parfois certains souhaiteraient sans fin. M'en remettrai-je un jour ? Aurai-je droit à leurs yeux à des miettes de bonheur, sans être accusée d'un nouveau crime ? Et encore condamnée et punie ! La curiosité n'est pas qu'un vilain défaut, elle peut détruire une vie. Coincée sur mon emploi du temps de cet après-midi, menacée de divorce si je mentais encore, j'ai dû raconter à mon mari aimé que je venais de le tromper. Il connaissait la réalité puisqu'il avait assisté à nos ébats amoureux de façon continue. Sadique il avait exigé de moi le récit complet de l'événement honteux ...
    ... (a posteriori). Le spectacle avait duré. Comment un mari peut-il rester muet dans un moment pareil ? Greg m'a aidée à quitter mes sous-vêtements en me félicitant pour mon bon goût. Mon soutien-gorge s'est envolé, Jean n'a rien dit; ma culotte est tombée, Jean n'a pas bougé; j'ai joyeusement masturbé le pieu de Greg, Jean a filmé froidement. Il est resté sans réaction pendant le soixante-neuf déchaîné qui a suivi. Il ne s'est pas révolté contre ma pénétration, il n'a pas hurlé au son de mes gémissements sous les assauts furieux et prolongés de Greg. Il filmait, devenu insensible quand j'étais arrivée, désormais uniquement préoccupé par le besoin d'accumuler les charges contre sa femme infidèle. Il était comme tétanisé. Il me voyait copuler, mais ne pouvait pas connaître ce qui me poussait à agir aussi délibérément. Ensuite, son opinion faite, il n'a pas voulu entendre mes explications, mes regrets sincères. J'étais devenue pour lui une vulgaire putain, la pécheresse indécrottable, souillée, la diablesse animée par les humeurs de son vagin, la dévergondée irrécupérable, la salope en rut, la femelle sans conscience de la gravité des gestes. C'était enregistré, il pouvait montrer à qui voudrait me défendre, la verge de l'homme engagée dans ma bouche, le gland pointu pénétrant en force entre mes nymphes écartelées, mon visage aux yeux fermés sur un violent orgasme ou encore le visage ridé et congestionné du quinquagénaire collé à la face d'une trentenaire active puis en extase. Le ...