1. Les démons de Noémie (8)


    Datte: 27/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de stratégie, pour peu qu’il soit effectivement « coupable ». L’homme était allongé dans les herbes hautes et il fallut que le couple se rapprochât pour le voir, tant il semblait invisible depuis la route. L’engin lui était en contre-bas et semblait intact. Noémie s’approcha de l’homme. Il sentait fort le vin rouge et avait l’air hagard. — « Ne bougez pas, monsieur, restez allongé ! », dit la jeune asiatique. Le vieux obtempéra. Elle l’enfourcha alors, son bassin contre le sien et lui prit une main qu’elle colla dans son décolleté. — « Vous n’avez rien ? Vous m’avez fait peur, monsieur ! Vous sentez mon cœur qui bat vite ? », lui dit-elle avec un petit sourire. Elle continua de plaquer la main velue du vieux contre sa peau et la fit glisser lentement vers son sein gauche. L’homme, encore sonné par ce qu’il venait de se passer, ne comprenait rien. — « Euh… Pardon, mademoiselle… Je voulais pas… J’ai un tout petit peu mal à la cheville mais c’est pas grave... », bredouilla le vieux. Il devait avoir retrouver un peu ses esprits car Noémie sentit la main caresser fermement son sein et une bosse naître sous son entrejambe. La belle philippine commença alors à mouiller et se mordiller les lèvres. Le vieux, remis, attrapa même la fesse droite un peu violemment et fit claquer sa main contre la peau dénudée de la jeune femme. Elle frissonna. — « Olivier, appelles quelqu’un pour au moins bander la cheville de monsieur, s’il te plaît…. », dit Noémie d’une drôle de voix. — « Euh… Oui… ...
    ... bien sûr... » Il farfouilla dans son sac mais ne trouva rien. — « Chérie, passes-moi le tien, j’ai oublié mon portable, je crois... » — « Je l’ai pas pris, mince... », dit-elle en souriant à l’homme qui continuait de caresser son sein sous le tissu et malaxer son cul doré. — « Je vais aller au bourg, tant pis… Je reviens vite. » Elle avait observé les réactions de son homme face à son comportement pour le moins inhabituel. Il semblait très perplexe et un peu inquiet, mais aucunement jaloux de voir un homme caresser sa compagne de la sorte Le vieux devenait de plus en plus entreprenant depuis le départ d’Olivier et Noémie sentait sa volonté vaciller. — « Enlèves ton haut. » Elle obéit et le vieux malaxa les deux seins en passant ses pouces sur les tétons sombres et durs. — « Bon Dieu, ils sont beaux tes nichons ! » La belle frottait son entrejambe contre le sexe qui grossissait sous le pantalon marron. Elle jeta sa tête en arrière en poussant des petits gémissements. Excité, le vieux lâcha les seins pour s’occuper des fesses et se redressa pour lécher les bouts bruns. Noémie s’abandonna totalement. Ils étaient à l’abri des regards, invisibles depuis la route. — « Tu vas me sucer la bite, chérie et je vais m’occuper de ta petite chatte avec ma langue. » Noémie se débarrassa rapidement de son mini short et de sa culotte, puis colla sa chatte dégoulinante sur le visage du vieux. Allongée sur son torse, elle ouvrit le pantalon et sortit la bite gonflée, en lécha la hampe puis prit ...
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