Les démons de Noémie (8)
Datte: 27/12/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... les couilles délicatement dans sa main et avala la queue. Le septuagénaire travaillait le clitoris en feu à grands coups de langue et titillait l’entrée du vagin avec son pouce. Son gros nez effleurait l’anus quand la langue râpeuse se rapprochait du trou inondé. Noémie suçait avec vigueur le vieux et enfonça la bite jusqu’au fond de sa gorge en caressant les bourses pleines. Sa jolie bouche allait et venait rapidement sur la verge en déformant ses joues. Ils gémissaient tous les deux presque à l’unisson. Soudain, la belle entendit une voiture s’arrêter près d’eux, puis deux voix d’hommes. L’une d’elles était celle d’Olivier. L’autre lui était inconnue. Ils se planquèrent derrière les herbes hautes à quelques mètres et parlaient tout bas. Si le vieux n’entendait rien, trop concentré sur la chatte en feu de la philippine, cette dernière, tout en continuant de sucer, tendait l’oreille pour capter quelques bribes de la conversation. — « Mais c’est ta femme ? », dit l’inconnu avec un ton stupéfait. — « Ma compagne, oui... », répondit Olivier. — « Et tu dis rien, enfin… Elle se fait… par le Claude en plus... » — « Oui, oui, c’est un jeu entre nous... » — « Ben ça alors… Elle est belle ta femme... » — « Ma compagne… Allez-y ! » — « Quoi ? Que je… T’es sûr ? C’est bizarre ton truc ! » — « Allez-y, je vous dis, elle attend que ça… Mais ne dîtes pas que je suis là, dites-lui que je suis au bourg pendant une demi-heure encore. » — « Euh… oui, bon d’accord... » L’homme surgit devant ...
... les deux amants avec une petite trousse de secours à la main et une couverture dans l’autre. Il se figea devant la scène qui se déroulait devant lui : son ami, « Le Claude », léchant la chatte d’une belle et jeune asiatique tout en se faisant sucer. — « Je vois que ça va mieux, la cheville, hein ? » — « Oh, Bernard ! Ben, comme tu vois, je me soigne ! », répondit le vieux. « Il est là, son mec ? » — « Non, il est resté au bourg, il en a pour une demi-heure encore. » — « Ah, super ! On va pouvoir s’occuper de la demoiselle bien comme il faut ! Envoies ta couverture, là... » Noémie avait relevé la tête et regardait avec ses grands yeux noirs embrasés l’inconnu. C’était un type petit et trapu d’une cinquantaine d’années. Il portait des petites lunettes rondes devant des yeux noirs. Sa moustache broussailleuse était surmontée d’un très grand nez. Il avait les joues creusées et une peau grisâtre. Vêtu d’une chemisette blanche et d’un pantalon gris, il semblait un peu perdu, hésitait à faire le moindre mouvement et grattait son épaisse chevelure brune et frisée. — « Allez, approches-toi et fourres-z-y ta queue dans sa bouche ! », dit d’un ton enjoué le dénommé Claude. Ce dernier se releva et se mit à genoux derrière la belle philippine qui se tenait à présent à quatre pattes, sur la couverture que Bernard avait jeté au sol. Il l’embrocha d’un coup et lui tira un long gémissement de plaisir. Le petit trapu regardait sans trop savoir quoi faire. — « Vas-y Bernard, elle suce bien, la ...