Toufou (1)
Datte: 28/12/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Toufou Il faisait très chaud. Nous tentions, ma femme et moi, de nous rafraîchir au bord de notre piscine. Il faisait presque nuit et la chaleur ne baissait pas. Nous étions allongés, entièrement nus sur les transat, attendant qu’un courant d’air vienne nous apporter un peu de bien-être. De temps en temps, un léger souffle venait me caresser les couilles. Je me laissais aller à cette caresse naturelle qui peu à peu m’excitait. Je regardais ma femme, seins gros et fermes, la moule offerte au zéphyr et luisante de sueur. J’eus envie de la baiser. Mon sexe gonfla en un clin d’œil. Je pouvais la prendre là, sur la terrasse, sans complexe. Personne ne pouvait nous voir. La maison de droite, celle de mon frère était déserte. Il était en vacances avec sa femme et nous avait confié son chien, un rhodésien que j’avais enfermé dans la maison de façon à ce qu’il ne nous embête pas. La maison de gauche était vide et on n’avait rien à craindre du terrain d’en face où une maison est en construction et dont la vue nous est cachée d’ailleurs par notre palissade. On entendait cependant dans les propriétés des alentours, les rires des gens qui profitaient de cette belle nuit de juillet et les quelques ploufs, de plus en plus rares, dans les piscines voisines. Je me levai, allai droit à ma femme, queue dressée, m’immisçai directement entre ses cuisses et commençai à lui pétrir les nichons puis, sans plus de préliminaires, j’enfonçais mon pieu dans la chatte ruisselante. Il faudrait juste que ...
... ma femme ne crie pas trop fort en contrôlant son orgasme pour que les riverains n’en soient pas "incommodés". Mais j’avais envie de la prendre en levrette et de me livrer à des jeux sm soft. J’allai chercher des cordes, une cravache et l’attachai lui liant les mains au transat, à genoux, le cul à l’air. En bouledogue, la queue bien au fond et les mains sur les seins, je prenais mon pied et ma femme aussi qui ne cessait de m’encourager et de geindre. Il fallait que je lui recommande de baisser la voix pour ne pas en faire profiter l’entourage. Mais j’eus soudain l’envie de l’enculer. Malgré notre échauffement, malgré mes coups de langue sur la rondelle, elle ne s’était pas encore dilatée et elle résistait à la belle circonférence de mon zob. J’essayais de forcer un peu mais rien n’y faisait. Il fallait du gel. Je léchai donc la rondelle une dernière fois, fourrai ma langue le plus profond possible dans la chatte puis me précipitai vers la maison, sous les plaintes de ma femme qui me recommandait de revenir vite. J’ouvris mais ne refermai pas la porte. J’allai dans la chambre, fouillai les tables de nuit mais ne trouvai pas le tube de gel. Dehors j’entendis ma femme s’impatienter : "Franck, viens vite, vite, grouille-toi...." L"appel était pressent et je me dis que si elle haussait un peu la voix, les lointains voisins finiraient par nous entendre. Je caressai le bout de ma queue pour maintenir une belle érection qui d’ailleurs n’avait pas faibli. Je filai dans la salle de bain, ...