1. Toufou (1)


    Datte: 28/12/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... qu’elle n’eût pas joui. Enfin, vaincue, elle s’écroula, bavant de sperme alors que le chien s’agitait encore dans la chatte. Il y eu de longues minutes encore pendant lesquelles ma femme s’excita à nouveau et je crus qu’elle allait jouir encore mais le chien termina avant. Il eût quelques abois de triomphe. Il fallut attendre encore un bon moment pour qu’il se déverrouille, retire son zob monstrueux, rouge et dégoulinant, libérant un flot impressionnant qui se répandit sur les jambes et le coussin. Il se mit immédiatement à lécher le trou béant encore qui pissait encore une liquide plein de lourds grumeaux. Visiblement ma femme appréciait ces grands coups de langue. Appuyée sur un coude, elle se pelotait un nibard de sa main libre. Je m’étais remis à bander. Quand Toufou, C’est le nom du chien, en eût marre de lécher ou qu’il en fut satisfait, il se coucha au pied du transat. Je ne réfléchis pas. J’enfilai ma femme d’un coup sec dans l’antre poisseux, chaud et dilaté ce qui la fit se redresser et gémir puis, je quittais cette atmosphère chaude, la pine bien lubrifiée, pour le trou du cul. Je n’eus pas besoin de gel. Je le forçais assez rapidement... et après de longs efforts, je parvins à découiller à nouveau. Je me retirai. Ma femme s’écroula sur le transat, complètement claquée. L’air était toujours aussi chaud. Je m’endormis rapidement. Je me réveillai vers trois heures du matin. Le vent soufflait en brusques et chaudes rafales qui poussaient de sombres nuages dans un ...
    ... ciel qui s’éclairait des zébrures de l’orage approchant. Avais-je été réveillé par le grondement sourd du tonnerre au loin ou par les cris d’orgasme de ma femme qui me parvenaient étouffés depuis l’intérieur? Peu importait. Je me levai, entrai dans le salon pour voir la fin des prouesses canines. Isa s’était allongée en travers du canapé pour en reprendre un bon coup; elle avait calé un énorme coussin sous ses reins et posé son cul sur l’accoudoir, ses jambes pliées, les orteils tendus s’appuyant au sol. Le chien, dont elle avait recouvert les pattes, s’emboîtait parfaitement dans la chatte, à hauteur idéale. Apparemment, il venait de finir de décharger une ultime fois, ma femme toute remuée ondulait du bassin, de haut en bas, travaillée par les ondes déferlantes du plaisir, mais aussi pour mieux profiter de l’énorme bloc capturé par son vagin. Elle se massait les nichons tout en proférant les mots les plus obscènes qui vantaient les mérites de la queue longue, épaisse et dure comme du roc qui la faisait monter au septième ciel. uhfuzza Je me mis bien sûr à triquer comme une bête devant un pareil spectacle en empoignant frénétiquement ma bite pour une vigoureuse branlette, tout en jouissant de la vue. Mais, soit que la moule fut plus dilatée par cette deuxième saillie que par la première, soit que la position facilitât les mouvements du chien, celui-ci se retira beaucoup plus vite que la fois précédente. Je ne lui laissai pas le temps de se ressaisir et, avant qu’il ne vienne ...