1. Toufou (1)


    Datte: 28/12/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... fouillai le placard... Il était où ce putain de gel ? Dehors ma femme appelait : "Franck, rapplique, y’a le chien !". Je répliquai : "J’arrive ! Il ne va pas te bouffer !". Je me souvins enfin que, la dernière fois que j’avais sodomisé Isabelle, c’est quand je l’avais pris sauvagement dans la buanderie. J’avais dû laisser le gel là- bas. Je retraversai le salon, entendis ma femme plaindre longuement : "Fraaaaaaaaaaannnnnnnnck..... Viiiiiite !". Je mis plusieurs minutes dans la buanderie pour trouver le tube. Fièrement, le tenant dans ma main et ma bite dans l’autre je reparus sur la terrasse. Je restai interdit. Le chien avais grimpé ma femme. C’est pour cela qu’elle n’avait pas cessé de m’appeler, pas pour me faire revenir, mais pour empêcher le clebs de la monter. Or, il était là, en train de la saillir. Je me précipitai. Tout en essayant de retirer la bête je dis à Isa... "Putain, tu pouvais pas me prévenir..." ; "Ta gueule ! Je ne fais que ça depuis dix minutes, qu’est-ce que tu foutais ? Tu voulais que j’ameute tout le voisinage en disant ce qu’il était en train de faire. Vite , détache moi et enlève-le moi." Je m’exécutai. Ma femme tenta de se dégager et j’essayai de l’aider, mais rien n’y fit. Le chien était bloqué à l’intérieur et il prenait son pied. Ma femme me demanda de l’aider à se remettre dans une position où elle aurait moins mal tout en me suppliant de mettre fin à tout cela. Je décidai d’aller chercher un seau, le remplis avec de l’eau prise dans la piscine ...
    ... et jetai le tout sur ce couple improbable. Le chien ne bougea pas et continua son rapide va et vient. Je proposai d’appeler un vétérinaire ou les pompiers. " Tu en as d’autres idées à la con comme ça ! Tu veux pas non plus des journalistes et un reportage télévisé ? " . Il n’y eut plus d’autre solution que de laisser le chien terminer. Et il n’était pas pressé. "Que ressens-tu ?" demandai-je. "Putain, la queue est énorme ! Il n’arrête pas de gicler". Elle s’était redressée, appuyée sur ses bras, la croupe offerte. Elle se mordillait les lèvres, signes non équivoque du plaisir qui montait en elle. Elle s’échauffait "Putain, oui, c’est bon, fourre-la moi toute, bourre-moi, c’est trop bon...." Le ton montait, je craignis un orgasme dévastateur, la perte de contrôle total et des cris qui alerteraient tout le lotissement. En même temps, la scène m’avait excité et je retrouvai la belle raideur que j’avais perdue quand j’essayais de détacher le clébard. Je regardai les grosses couilles balloter. Je m’approchais au plus près pour voir la saillie, l’énorme masse qui disparaissait dans la moule aux lèvres écartées et gonflées comme jamais et le jus ruisselant le long des cuisses. Isabelle commençait à délirer de plus en plus fort, les mains crispées sur les coussins. Je dus, pour la faire taire, lui enfourner ma bite dans la bouche. J’éjaculais avant le chien mais l’orgasme ravageait ma femme qui se cramponnait à mes fesses en y plantant ses ongles. Elle me maintint dans sa bouche tant ...