1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°908)


    Datte: 31/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°907) – Le lendemain matin, je fus réveillée sans ménagement par Walter qui me tirait par la laisse à l’extérieur de la niche. Après m’avoir amenée aux douches communes et m’avoir laissée me laver à l’eau froide, il me conduisit dans la salle de dressage. - Comme chaque sanction que le Maître décide pour ceux qui Lui appartiennent, il y a toujours un côté éducatif derrière. La première partie de ta sanction aujourd’hui continuera ton dressage sur le contrôle de tes cris, et cette après-midi ce sera le contrôle de jouissance... La finalité, l’objectif affiché est d’obtenir de toi que tu n’émettes plus aucun son à tout que l’on pourrait t’infliger mais aussi à obtenir un parfait et total contrôle de tes orgasmes parfaitement maitrisés. Il actionna un mécanisme et un grand pan de mur s’escamota, découvrant une grande roue-pendule mais sans la petite aiguille indiquant les minutes. Walter régla la grande aiguille des heures, puis m’attacha bras et jambes écartelés, ma tête servant à indiquer les minutes. Il était 6h30, je me retrouvai donc la tête en bas. Il m’introduisit dans la chatte et dans le cul des petites électrodes, ce qui me fit un peu peur et me demander ce qui allait m’arriver. Il appuya sur un bouton, et il sortit de la pièce. L’axe sur lequel j’étais attachée se mit à tourner, lentement très lentement. Le sang me montait à la tête, je voyais des petits points noirs devant les yeux. J’espérais que je retrouverai ...
    ... vite une position plus confortable. Au moment où j’atteignis la position horizontale, indiquant 6h45, je ressentis une décharge électrique dans mon bas ventre et dans mes entrailles me faisant hurler autant de douleur que d’un plaisir que je n’aurai pas soupçonné. Cela dura une dizaine de secondes. Puis cela s’arrêta. L’axe continua à tourner, doucement sans qu’il ne se passe rien. Jusqu’à ce que sonne sept heures et que je me retrouve en position à la verticale. Et là une nouvelle décharge, plus forte que la première, m’arrachant un cri plus puissant que la première fois et qui faillit me faire jouir. En étant à la verticale, je fus surprise de sentir ma chatte autant humidifier, ce qui m’expliquait l’orgasme que je faillis lâcher, de la mouille s’écoulant le long de mes cuisses. Comment je pouvais me retrouver excitée ainsi et de ressentir cette douleur en même temps ? En fait, si j’étais honnête avec moi-même, ce n’était pas si douloureux que cela… du moins pour le moment… et ces décharges électriques dans mes orifices me provoquaient immanquablement de l’excitation … Cela continua durant des heures, tous les quarts d’heure, une décharge plus forte que les précédentes, m’arrachait des cris de plus en plus forts et déchirants, mais aussi des excitations de plus en plus fortes. J’étais épuisée, la douleur devenait de plus en plus intense, l’humidité de ma chatte trempée aussi. Je n’avais vu personne, je commençais à paniquer et les larmes coulaient sans que je puisse les ...
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