La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°908)
Datte: 31/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... retenir. Et paradoxalement, je n’avais jamais tant mouillé de ma vie sans qu’une personne n’y soit pour quelque chose. On arrivait à onze heures, j’avais la gorge en feu à force de crier et je commençais à avoir la voix qui faiblissait. J’eus l’impression que la décharge était un peu moins forte. À moins que je ne devienne insensible à force de subir… j’essayais donc de me contenir, même si cela m’était difficile. Et plus le temps passait, plus je contrôlais ma voix et criais de moins en moins fort, et plus les décharges diminuaient, jusqu’à complètement s’arrêter à midi et demi. La roue, elle, continua à tourner jusqu’à treize heure, moment où Walter revint sans dans la salle de dressage. Il s’approcha de moi, un sourire vicieux sur les lèvres : - Eh bien, eh bien ! dit-il en passant sa main entre mes cuisses. Si je n’ai pas une petite salope de chienne en chaleur lubrique en face de moi, je ne sais pas ce que c’est ! Tu dégoulines littéralement. Le bois est taché et il y a même une flaque qui s’est formée sous la roue. C’est bien tentant… Et sur ce, il m’ordonna la position prosternée, baissa son pantalon et son boxer et exhiba déjà une verge dressée. Pui il me pénétra sans autre préambule, comme la veille au soir contre le grillage, à la différence que cette fois c’est ma chatte qu’il posséda au lieu de mon cul. Après m’avoir interdit toute jouissance et tout cri, il me pilonna sauvagement, soufflant bruyamment. Il ne tarda pas à éjaculer dans ma chatte lâchant de ...
... puissants ‘han’ de bûcheron. Ça avait été rapide, limite violent, il avait vraiment pris son plaisir, s’était servi de moi comme le trou à bites que j’étais, la salope que je revendiquai ! Je fus pour lui un véritable vide-couilles pour être ainsi prise à la va-vite à se soulager dans ma chatte trempée… Après s’être rajusté, il me traîna vers les cuisines, où, alignée aux côtés d’autres chiens et chiennes, je reçus une gamelle d’une pâté revigorante mais sans goût et d’apparence douteuse. Je fus choisie, ainsi qu’un autre chien soumis, à la fin du repas pour servir d’urinoir à tous les domestiques souhaitant se soulager après leur repas. Puis je fus ramenée à la salle de dressage. - Alors, chienne, voilà la dernière partie de ta sanction. Du moins celle que je suis chargé de t’administrer… Donc tu es une chienne tellement en chaleur que tu es incapable de retenir un orgasme si les assauts durent un temps soit peu. A la fin de ta sanction, tu seras capable de te retenir de jouir, je peux te l’assurer, comme je n’émettre plus aucun bruit en toutes circonstances ! Il m’attacha à une table gynécologique, les bras tirés en arrière, à la limite du supportable, les jambes et cuisses largement écartées, laissant mes parties intimes pleinement exposées à son regard. Il alla chercher un appareil sur roulettes. Sur une tige se trouvait un gode au gland épais, tige reliée à un moteur, permettant au gode de s’enfoncer et de se retirer en de vas et viens mécaniques, et de tourner sur lui-même en ...