La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°908)
Datte: 31/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Mon travail était tous les jours rigoureusement fait, même s’il était parfois interrompu par les bruits provenant de la pièce à côté. En effet le Maître faisait venir chien ou chienne pour le satisfaire. La cloison n’étant pas épaisse, j’entendais tout, me repentant d’autant plus de ne pas Lui avoir obéi et d’être condamnée à être privée de Lui pendant un temps indéfini. Le soir, je l’entendais sortir de la pièce et je partais alors finir les corvées de la journée, avant de retrouver le Chenil. J’avais perdu toute joie de vivre. Tout ce qui devait être fait était exécuté au mieux. Mais je n’avais aucun entrain. Je me trainais en attendant que ma sanction se termine pour de bon. Malgré cela j’avais un comportement irréprochable. Comme tous, je fus utilisée à un moment ou à un autre par Walter, Marie, ou des Dominants de passages rendant visite au Châtelain, et je sus me retenir de jouir et de crier, car ça avait été ma consigne jusqu’à nouvel ordre... Et le vendredi soir, alors que mon travail était terminé et que j’attendais, toujours sur ma chaise, que le Maître quitte Son bureau, une ...
... feuille passa sous la porte. Mon cœur se mit à battre plus fort, je ne Le voyais pas, mais cette feuille venait de Lui écrite par Sa main, alors je m’empressais de lire Ses propres mots… : « Ma chienne, ta sanction est presque achevée. Demain soir, je vais avoir besoin de toi pour un dîner que j’organise au Château. Tâche que Je sois fier de Ma propriété ! Je n’accepterais aucun manquement. Il n’appartient qu’à toi que ta sanction ne se prolonge pas indéfiniment. Tu n’en sauras pas plus jusqu’au moment venu. Le Maître. » J’en avais les larmes aux yeux. Pour avoir un tel avertissement, c’est que cette soirée était très importante, et que j’allais sûrement être soumise à rude épreuve. Mais j’étais tellement heureuse de savoir que demain je serais de nouveau à Ses pieds ! Je ferai tout pour ne pas le décevoir, je me dépasserai autant qu’il le faudrait pour cela. Risquer une exclusion définitive était inenvisageable ! Lorsque je regagnai ma niche, j’étais partagée entre joie, angoisse et féroce volonté… Mais je me sentais avant tout moi-même, c’est-à-dire chienne soumise MDE ! ... (A suivre …)