1. Les premières fois


    Datte: 31/12/2018, Catégories: f, fh, fhh, fhhh, hplusag, inconnu, voisins, gros(ses), grosseins, groscul, complexe, campagne, jardin, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, sm, gifle, fouetfesse, piquepince, init,

    Le matin, je revoyais, dans ma tête, ma fuite avec son rire qui me poursuivait. Ses mots, crus, résonnaient à mon esprit. J’avais l’impression d’avoir la fièvre, mon corps était en sueur. L’idée de le faire renvoyer m’était insupportable. J’avais trop envie de ce trouble. J’ai réussi à l’éviter toute la journée du lendemain. Mais le soir, quand il est reparti, j’étais dans le potager, en train d’arracher les mauvaises herbes, pour me calmer. Il a fait un crochet pour venir me voir. Je ne l’ai pas entendu s’approcher. J’ai entendu sa voix, toujours moqueuse. — Relève ta jupe, que je vois tes trésors… J’ai voulu me relever, mais il a mis ses mains sur mes épaules. Il était derrière moi, je n’osais plus me tourner et lever les yeux vers lui. Il a dit : — Tu sais quoi ma belle salope ? Ton père ne m’a pas viré. Au contraire, il a téléphoné à mon patron, pour me féliciter de mon travail. J’en déduis donc que tu ne veux pas que je parte… Je ne répondais pas, toujours à genoux, dans la terre du potager, ses mains sur mes épaules, m’empêchant de me relever. — Si tu ne veux pas que je parte, il va falloir que tu sois très obéissante avec moi, ma petite bourgeoise. Il a accentué la pression de ses mains sur mes épaules, et m’a ordonné : — Relève ta jupe, je veux voir ton cul. Ses mots m’ont provoqué un long frisson, il l’a senti, et a insisté. — Allez, ma pucelle, montre-moi ton cul, ou je pars ce soir et je ne reviens plus. Décide maintenant de ce que tu veux. Soit tu m’obéis, et tu ...
    ... deviens ma pute, soit je sors de ta vie, et tu replonges dans tes bondieuseries. Je ne bougeais pas. Il a enlevé ses mains, je l’ai senti se redresser, et il a dit : — Bien, tu as choisi. Adieu ma petite bourgeoise. Brusquement, l’idée qu’il parte me fut intolérable. Tout mon corps le réclamait. Un peu tremblante, mais sans trop hésiter, j’ai soulevé ma jupe. — Tiens… la pucelle prend sa décision… Je ne bougeais pas, les joues en feu, montrant ma culotte à cet homme qui me donnait la fièvre. — Enlève-la, ma salope. Je veux voir ton cul nu. Je n’hésitais plus. J’ai baissé ma culotte, offrant mes fesses à ses regards que je savais perçants. Je goûtais pour la première fois la volupté d’obéir. — Mets-toi à quatre pattes, je veux voir ton trou. Je bafouillais : — Non, je ne veux pas, on pourrait nous surprendre. Il ricana : — Tout ce qu’on pourrait voir, c’est une petite bourgeoise dévote, à quatre pattes, en train de montrer son cul à un quasi inconnu, comme la dernière des traînées. Si tu acceptes de te soumettre à mes ordres, c’est ce que tu es, et c’est maintenant, ou jamais. Ses mots me faisaient l’effet de flammes passant sur mon corps. J’ai arrêté de penser, et j’ai obéi. Il n’a rien dit un moment, je sentais ses yeux fixés sur mon trou. Je me sentais humiliée, et je découvrais la volupté d’être humiliée. À cet instant, j’aurais voulu qu’on nous surprenne, qu’on me voit ainsi. — Très bien ma chienne. Tu es très obéissante. Maintenant, écoute-moi bien… Je ne répèterai plus ...
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