1. Les premières fois


    Datte: 31/12/2018, Catégories: f, fh, fhh, fhhh, hplusag, inconnu, voisins, gros(ses), grosseins, groscul, complexe, campagne, jardin, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, sm, gifle, fouetfesse, piquepince, init,

    ... et ses dents entrer dans ma chair, et oui, je jouis, je jouis de douleur, sous les sévices délicieux de mon premier amant. Il sortit de ma chatte, et arrosa mon cul de son sperme. Puis il se rajusta, et partit, sans un mot. Quelques minutes plus tôt, j’étais moi-même : jeune fille vierge, sage. Maintenant, j’étais une autre . J’étais là, toujours à quatre pattes, la chatte dégoulinante de sang et de mouille, le trou du cul recouvert de foutre, la morsure à l’omoplate me lançait, et mes tétons étaient encore traumatisés par ses pincements, j’avais les fesses rouges de ses coups. Et je m’assis, et je pleurais. Non pas de regret, ni de douleur. J’aurais simplement voulu qu’il ne parte jamais, qu’il continue. Le lendemain, dimanche, nous allâmes à la messe. Mon père nous avait rejointes pour l’occasion. Je devais porter une robe noire, et un gilet blanc. Pendant que je m’habillais, j’entendis un sifflement sous ma fenêtre. Je me penchais, resserrant mon peignoir autour de moi. C’était lui. — Bonjour petite bourgeoise devenue pute.— Bonjour Maître.— La séance d’hier t’a plu ?— Oui, Maître, merci.— Bien. Je sais que tu vas à l’église, je ne veux pas te retarder. J’avais juste des ordres à te donner. Tout à l’heure, tes parents iront au repas organisé pour la fête paroissiale. Tu trouveras une excuse pour ne pas y aller. Je t’attendrai ici. J’aurais une surprise pour toi. Tu ne mettras pas de culotte. Je veux que la mouille coule sur tes cuisses, à l’idée du traitement que je vais ...
    ... te réserver, ma pute bourgeoise. Attention. Je serai à l’entrée de l’église quand tu y arriveras, et je vérifierai. Ensuite, quand tu quitteras tes parents, tu retireras ton soutif, et tu ouvriras autant de boutons de ton chemisier qu’il le faudra pour qu’on puisse voir un peu de tes gros nichons. Je veux que ce soit ouvert de telle manière que si tu bouges trop, on voit tes gros tétons dressés, prêts à se faire mordre. C’est compris, ma salope ?— Oui Maître. J’obéirai. Je suivis donc mes parents, sentant le tissu rêche de ma robe contre mes fesses. J’étais déjà très humide, je me demandais comment, à l’église, il allait vérifier. Il était là, au café, près de l’entrée. Il interpella mes parents, et leur parla de l’avancée des travaux. Quand tout le monde se retourna, pour aller à l’église, il se colla derrière moi, releva un peu ma jupe, glissa sa main, et je sentis ses doigts pénétrer dans ma chatte nue. Puis le mouvement m’emporta loin de lui, et de mon désir qu’il me prenne à nouveau, là, sur la place pleine de monde, sur la table du café. Je pensais à lui tout le long de la messe, et ensuite, prétextant la fatigue de mes nuits d’insomnie, je rentrais. J’ai enlevé mon soutien-gorge derrière l’église, et j’ai ouvert mon chemisier jusqu’au nombril. J’ai traversé la ville ainsi. À pied. Les gens ne me voyaient pas, ils étaient pressés d’aller manger au repas de la fête. Quand j’arrivais, la mouille coulait jusque dans mes socquettes de petite fille sage. Il était au salon. ...
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