1. Les premières fois


    Datte: 31/12/2018, Catégories: f, fh, fhh, fhhh, hplusag, inconnu, voisins, gros(ses), grosseins, groscul, complexe, campagne, jardin, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, sm, gifle, fouetfesse, piquepince, init,

    ... jamais deux fois mes ordres. Tu choisis : tu te soumets, ou tu reprends le cours de ta vie comme si rien ne s’était passé. Mais j’ordonne une fois, et tu obéis immédiatement, ou je pars. Maintenant, choisis. Tu te soumets ? Je ne voulais pas répondre, mais cet homme m’excitait trop, je ne voulais pas qu’il attende ma réponse, au risque de le voir tourner les talons et sortir de ma grisaille. — Oui.— Tu n’as pas bien compris, petite bourgeoise. Je suis ton Maître à présent. Je me repris. — Oui Maître, je me soumets. J’attendais sa réponse, qui ne venait pas. Soudain, il se pencha, et, de sa main, gifla mon cul, très fort. Quand je me retournais, les larmes aux yeux, il était parti. Le soir, le mot résonnait dans mes rêves avec volupté. Maître… J’avais un Maître. Je lui appartenais. Désormais, j’allais être livrée à toutes ses volontés. Je repartis dans mon rêve le plus excitant, celui des hommes sur la place de l’église. Mais cette fois, mon Maître était là. Il m’ordonnait de me mettre à quatre pattes. J’obéissais, et il me frappait parce que je n’avais pas dit « Oui, Maître » en réponse à son ordre. Il écartait mes jambes, et m’ordonnait de demander à tous les hommes de venir voir mes trous de salope. Mes seins traînaient sur le goudron de la place. Je sentais le vent sur mon cul. Les hommes m’insultaient, et riaient de voir mon trou vierge. Mon Maître prit une bouteille de bière sur une table, et l’enfonça dans mon cul. Un homme de l’assistance rit, et lui dit qu’il ...
    ... devrait me mettre une bouteille aussi dans la chatte. Mon Maître lui proposa plutôt de me dépuceler lui-même, de ses mains. L’homme s’avança, et je sentis deux gros doigts rugueux s’enfoncer dans ma chatte. C’était le meilleur fantasme que j’ai jamais eu, le plus excitant, et je faillis m’enfoncer mes doigts à moi, pour en finir avec ce pucelage, mais je n’osai pas. Pour me punir d’être si lâche, je pris un tube de crème pour les mains sur ma table de nuit, et j’essayais de l’enfoncer dans mon anus. Mais il n’entrait pas, il était trop gros. Je pris un peu de crème, et l’étalais sur mon trou avec mes doigts, en enfonçant un, puis deux. Ça me fit mal, mais le tube finit par entrer. Je le fis aller et venir, en imaginant le faire avec la bouteille de bière, sous les yeux des hommes du village, à quatre pattes sur la place, sous leurs quolibets et leurs injures. Le matin, à la sortie de mes rêves agités, je sentais encore la marque cuisante de sa main sur mes fesses, exposées à son regard. C’est le lendemain qu’il me dépucela. Ma mère était partie chez une amie organiser une fête paroissiale. J’étais dans le jardin, sur une chaise longue, j’essayais de dormir, épuisée par mes émotions et mes insomnies fiévreuses. C’était un samedi. Mon tout nouveau Maître ne travaillait pas ce jour-là. J’étais seule. Et soudain, j’entendis sa voix. — Bonjour ma chienne. Je me suis dit que j’allais passer te faire un petit coucou. Je sursautais violemment, et ouvris les yeux, sous son regard toujours ...
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