1. Les premières fois


    Datte: 31/12/2018, Catégories: f, fh, fhh, fhhh, hplusag, inconnu, voisins, gros(ses), grosseins, groscul, complexe, campagne, jardin, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, sm, gifle, fouetfesse, piquepince, init,

    ... Avec un autre homme. — Voici ma soumise. Un vrai petit bijou. Une grosse belle salope. Il se tourna vers moi : — Déshabille-toi, que mon ami puisse voir ton gros cul et tes énormes nichons qui pendent. J’eus un instant de révolte. Il le lut dans mes yeux. — Tu veux arrêter le jeu, petite bourgeoise ? Je baissais les yeux. Non, je ne voulais pas arrêter. Ce jeu, comme il disait, était devenu la révélation de ma vie. — Tu ne veux plus être ma putain ?— Si Maître, je suis votre putain. Je vous appartiens.— Voilà qui est mieux, petite traînée. Déshabille-toi maintenant. Comme j’hésitais, il se leva, et me donna une gifle retentissante. J’obéis. J’entendais les commentaires insultants de son ami, et mon Maître qui racontait avec des mots orduriers comment il m’avait dépucelée, la veille, en levrette, comme une chienne. — Allez, à quatre pattes maintenant. Montre ton trou à mon ami. J’obéis. Son ami et lui palpèrent sans douceur mes fesses. L’ami s’écria : — Un petit trou comme ça dans un si gros cul ! J’ai bien envie de l’enculer. Tu permets ?— Non, rejeta mon maître. Je veux d’abord lui enfoncer un doigt. Va devant elle, et regarde-la. C’est sous les yeux d’un inconnu scrutant mon visage que mon maître enfonça brusquement son index dans mon cul. Il farfouilla un moment, pendant que j’essayais de ne pas gémir de douleur. Enfin, il retira son doigt. Puis d’un coup, il en entra deux. L’ami ne regardait plus mon visage, il regardait mon cul, fouillé par les doigts de mon maître. — ...
    ... Laisse-moi l’enculer, maintenant.— Non, je vais d’abord la préparer. C’est ma soumise, je ne veux pas l’abîmer. Il enduisit mon trou de gel. Les allées et venues de ses doigts sont devenues délicieuses, fluides, attendues. L’ami s’impatientait. — Allez, c’est bon, il ne va plus rien y avoir à forcer. Laisse-la moi, maintenant, que je lui enfonce ma bite dans son gros cul qui ne demande que ça. Mon maître se plaça devant moi. Je le regardais, affolée. J’aurais voulu qu’il me prenne lui, et pas cet inconnu. Il sourit : — Donne-moi tes nichons, soumise. Tu es à moi. Je décide de ce que je veux faire de ton corps. Mais je veille aussi sur toi. Il ne t’arrivera rien que je ne veuille. Je reste près de toi, pour veiller à ce que tu te comportes comme une vraie catin en chaleur. Je veux que tu gémisses, que tu gueules ta souffrance et ton plaisir. Je vais ouvrir la porte, et tout le village pourrait t’entendre, s’ils n’étaient pas tous à leur bondieuserie. Et s’ils venaient, ils te verraient toi, ma chienne, à quatre pattes, en train de te faire enculer par un inconnu, les nichons dans les mains d’un employé. Il alla ouvrir. Puis reprit mes seins dans ses mains. Il était très doux. Je gémis de plaisir. Et aussitôt, je sentis la bite de son ami s’enfoncer dans mon cul. Le lubrifiant lui permit d’y aller très fort, et je hurlais de douleur. Il griffait mes hanches, ahanant, me donnant des coups de reins qui me jetaient contre mon Maître. Mon Maître passa sous moi, continuant à caresser ...
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