1. Initiation au monde de O (2)


    Datte: 02/01/2019, Catégories: Divers,

    ... esclave dévouée corps et âme ! » Je regarde la tatoueuse qui devine déjà toutes mes questions. Elle y répond et à toutes. Une seule me désole, trois mois pour que tout soit complètement cicatriser et sans plus aucun risque. Trois mois sans avoir de O à faire jouir, c’est bougrement long. Alors, ma tatoueuse me regarde d’un air attendri : « T’inquiète pas, si tu veux, on se partagera ma soumise le temps qu’il faut. Elle, elle n’est pas comme moi, elle est bi ! » Cela me dépasse, m’abasourdit, m’étourdit qu’elle me propose sa soumise. Sa main me prend la mienne : « Tu m’amène O demain avec une petite valise ave une semaine de fringue ! » Me dit-elle en caressant ma joue. J’embrasse son front en acceptant. Cela étant, O est surprise que je la laisse partir pour trois mois. Pourtant, je me ravise, c’est impossible si tôt. Je me retourne vers O, la regarde sans ne rien exprimer sur mon visage. « Tu devras attendre. Nous avons la réunion de famille. » O est abattue. Elle qui voulait avoir mon empreinte définitive sur son corps. Je lui enfile sa robe, la ferme, le temps de passer à table. Assise près de moi, sa main sur ma cuisse, ses yeux insistent encore. Madeleine, notre tatoueuse, explique les risques trop grand si cela se faisait dans la ...
    ... précipitation et, à son tour, refuse d’annelé O. Cela ne gâche pas la soirée et encore moins la nuit. Deux hommes pour quatre perles de beauté. Si le soumis ne peut contenter O, il se doit à sa Maîtresse. O est dans les bras de la soumise de Madeleine. Et nous deux, on se regarde longuement. Je ne veux pas la brusquer, surtout pas. Je sais qu’elle hésite. Sur le balcon, je me risque à caresser sa croupe musclée. Son visage se tourne vers moi. Mes mains le prennent, ma bouche embrasse. Ses mains m’enlacent. Lentement, je l’entraine dans la chambre que notre amie nous m’a désignée. Lentement je couche cette tatoueuse, la dénude tout en embrassant ce corps qui s’abandonne petit à petit. De ses pieds que je baise, suce, je remonte le long de son corps. Je m’arrête longuement sur ce berceau de la vie, que j’honore de ma langue. Puis, sur ce nombril, lieu qui l’unissait à sa mère. Je remonte, dévoilant sa poitrine si ferme. Enfin, je baise cette bouche qui répond à mes baisers passionnés. C’est elle qui guide mon pénis à l’orée de son saint des saints. C’est lentement que mon gland s’insinue dans cet étroit canal. Je sens le pourquoi de sa résistance. Je la fixe dans ses yeux. Sa bouche embrasse mon nez. Ses mains se plaquent sur mes fesses. Fin du second chapitre. 
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