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Retour à bon porc
Datte: 11/08/2017, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe
Une amie m'enjoignait de témoigner et d'enfoncer ce salaud. Bareul, notre ancien moniteur de tennis était mal barré. Tout lui tombait dessus. Il était rattrapé par toutes ses turpitudes. Il était notoire qu'il courait la gueuse et avait une prédilection pour les jeunes filles. Le curieux est que personne n'avait jamais protesté et qu'on avait laissé faire. Il était bon copain avec mon père. Celui-ci ne s'étant jamais avisé que sa fille put être tripotée par son pote. Peut-être pensait-il qu'il n'oserait pas. Moi-même à l'époque j'avais fait preuve d'une grande lâcheté.Aussi ai-je scrupule à me joindre à la vindicte. A grossir l'hallali. Au milieu de mille défauts je n'en préserve pas moins cette qualité de me garder de toute meute et de ce que j'appelle l'unanimité des foules. C'est plus fort que moi. J'ai horreur de cette bonne conscience stupide et à bon marché. Aujourd'hui il est de règle de se taper et de lyncher du porc. Il y a peu cette engeance en imposait. On la supportait et craignait. Depuis le cours des astres a inauguré ce nouveau désastre. Je n'ai pas envie de faire plaisir à mon amie. Non pas que je méprise sa souffrance mais j'ai mes raisons.Bareul il est vrai s'est d'abord comporté en cochon avec moi puis il m'a fait la courte échelle pour obtenir un job où je me suis épanouie et ai rencontré un mari. J'ai fait la part des choses. Ni ange ni démon, il n'a pas que nuit à mon destin. Son commerce troublant m'a affermi et m'a fait devenir femme prématurément. Et ...
... puis je n'étais pas une sainte. Je vous laisse juge. J'ai du mal à jouer la vierge effarouchée. Je sais mes responsabilités. Tout a commencé sur les courts de tennis. J'avais un bon coup droit. J’aplatissais mes adversaires. Bareul n'était que louange pour moi.Mon père et lui avaient fait l'armée, les 400 coups ensemble. Parvenue à mes quinze ans, il avait décelé rapidement mes formes naissantes. Les gars alentour me draguaient. Le fils Dupuis m'avait dépucelé un matin dans un pré après que nous fûmes descendu du car. J’avais trouvé moyen et grotesque ce premier coït. Comme nombre de copines je ne dédaignais pas d'allumer des mâles plus âgés. Certaines avaient sauté le pas ayant des hommes mariés pour amant. Bareul obtenait de quelques-unes des fellations dans le vestiaire. J'étais vraisemblablement sur sa liste.Je me mettais à haut prix. Ainsi avais-je cédé à un voisin, avocat de métier. Une grosse huile de la région. Sa bagnole m'épatait. Il me fit faire un tour une après-midi. Nous nous embrassâmes. Tant bien que mal j'effectuais une de mes premières pipes. J'eus droit plus tard à un restau. Nous finîmes dans une chambre du dessus. Il fut brutal. Je découvris à partir de ce jour l'étendue de mes pouvoirs. Il fit de moi sa maîtresse un temps. Je devins entre ses bras dépravée. Mon regard à présent était plus effronté. A la fin il s'enquit que j'étais une mineure et rompit avec moi.Bareul percevait le cheminement de ma dépravation. Bref il obtint un jour que je le précédas ...