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Retour à bon porc
Datte: 11/08/2017, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe
... imbécile du moins devait rêver de me culbuter. Je n'avais qu'à l'exciter et à lui faire ronger son frein. Je fis si bien que nous convînmes de dîner ensemble. Je lui fis croire qu'une grosse boîte américaine du coin pouvait sous peu me faire une proposition.J'escomptais que le cochon gambergeât durant les trois jours précédant notre nouvelle rencontre. Non mince détail je compris enfin ce pourquoi son visage m'était familier. Dans la brume des souvenirs il me revint que ce type était un porc d'une de ces partouzes d’antan. Autant nymphettes nous nous masquions pour n'être reconnues autant nos bourreaux et amants d'alors affichaient sans vergogne leur trogne. Je me rappelle qu'il avait été répugnant. Inondant mon anus de champagne, il m'avait ensuite enculé. J'eus envie un moment de lui balancer cette salace anecdoteJ'avais idée de jouer et me venger de cet homme. S'il devait m'avoir ce serait à haut prix. Il n'obtint ce soir-là qu'une simple pipe laquelle put lui faire entrevoir mon fort tempérament au pieu. Mon poisson était ferré. Le lendemain par texto, il me fit savoir que le contrat était fin prêt et qu'il avait augmenté mes émoluments. Il ajouta que je devais me méfier de mes américains. Il licenciait sans vergogne et puis fille du pays, je devais ...
... travailler avec lui, noble natif de la région. Je vins en fin d'après midi à son bureau. Celui-ci fermé il s'enquit à me prendre en levrette.Cela fut fait après que nous ayons l'un l'autre apposé nos paraphes sur les documents. Il soufflait derrière moi tel un porc. Je m'enquis que j'avais depuis peu acquis le sang froid voire le flegme des prostituées. J'assumais tranquillement ce titre dont on m’avait tant seriné les oreilles. J’estimais que ce cul devait me rapporter fort gros. Mon patron devint un temps mon amant. Cela ne laissât guère de doute aux autres. Ils se résignèrent. N'étais-je pas la nouvelle favorite ? Il valait mieux jouer dans mon camp. Bareul sut tous le détail et m'en félicita.Ce coquin au final avait été mon ange. Je le savais en sursis quant à sa vie. Je ne me voyais pas de m'associer avec d'autres files pour le traîner dans boue et le mener au gibet. Il avait eu le seul tort ou mérite de me débaucher le premier. Un autre de toute façon y aurait réussi. Je mesurais ma responsabilité et que le vice était depuis toujours tapi en moi. Certaine plaine ou savane s'embrasent à la moindre étincelle. J'avais mis un peu de temps à m'accepter ainsi et à mener au mieux ma barque. Je mis un point d'honneur à honorer Bareul et m'afficher à son enterrement.