Son vieux copain - Histoires de Sexe

Son vieux copain

... se collant à nouveau à lui, elle reprit une danse qui devenait maintenant carrément vicieuse. Le frottement de cette verge durcie contre sa petite culotte trempée lui procura rapidement les sensations qu’elle avait recherchées dans sa folie. Son trouble la fit défaillir et un désir violent s’empara d’elle ; elle semblait avoir complètement perdu la raison. À cet instant, son partenaire l’aurait plaquée contre un mur et aurait tenté de la pénétrer, qu’elle aurait été incapable de lui résister. Elle serra fortement les cuisses, emprisonnant le membre, et imprima à son corps de légers mouvements d’avant en arrière. Cette masturbation lubrique rendit son cavalier totalement fou. Il n’en pouvait plus. Il soufflait comme un bœuf, il haletait et sentait venir le point de non-retour. Dans son délire, il saisit la légère culotte de sa cavalière et la tira brusquement vers le bas, laissant celle-ci instantanément cul nu sans qu’elle eût le temps de réagir. — Non, je n’veux pas, s’écria-t-elle, réalisant soudain, malgré sa folie, que la situation dérapait. Une seconde de plus et la verge de son partenaire eût été au contact direct de son intimité et là, dans l’état d’excitation extrême dans lequel ils se trouvaient tous les deux, ils seraient allés bien au-delà des limites qu’elle s’était fixées. Elle voulait juste faire réagir son mari, le rendre jaloux, mais à aucun moment elle n’avait voulu l’humilier. Jouer le rôle de la femme fatale, de la séductrice, voire de la provocatrice, ...

... oui, mais certainement pas celui de la putain ! Elle s’écarta donc de son partenaire et remit en place son petit string, ultime et dérisoire protection de son intimité de femme. Pourtant, après le contact brûlant qu’elle avait eu avec son partenaire, elle restait encore sous l’emprise d’un puissant désir et une force irrésistible la poussa à se saisir de ce membre viril, tendu à l’horizontale. Hervé, lui, était ivre de plaisir et sentait qu’il était au bord de l’explosion. — J’vais tout lâcher, Julie ! s’écria-t-il. Stimulée par l’état second dans lequel se trouvait son partenaire, son désir décupla et elle voulut tout à coup se venger de cette queue tentatrice, aussi dure que du bois, qui l’avait étourdie l’instant d’avant. Elle la serra alors très fort dans sa main et entreprit une violente masturbation vengeresse. Hervé n’y résista pas longtemps et dans un grand râle de plaisir, il se laissa bientôt partir et sa verge lança trois ou quatre jets abondants qui vinrent lamentablement s’écraser sur le sol, épargnant Julie qui s’était sagement écartée de la « ligne de tir ». Ce fut pour lui comme le bouquet d’un feu d’artifice, l’apothéose d’une soirée qui avait été aussi chaude qu’inattendue. Julie se rhabilla, puis alla chercher une serpillière afin d’essuyer les débordements de son invité, tandis que ce dernier, un peu honteux de s’être laissé aller égoïstement, fila dans la salle de bains se nettoyer. Stéphane quant à lui, était partagé entre le soulagement de voir que son ...