Sans mâle et sans tabou (4)
Datte: 04/01/2019,
Catégories:
ff,
fsoumise,
humilié(e),
chantage,
... tromper tous ceux qui l’aimaient et lui faisaient confiance. Ses dettes s’étaient accumulées, atteignant des sommes colossales, et il avait enfreint toutes les règles pour continuer d’assouvir sa passion. Salma avait fini par apprendre la vérité lorsqu’il avait hypothéqué la villa secondaire de ses parents, et c’est autant par désespoir que par pitié qu’elle l’avait soutenu et protégé, cherchant à chaque fois à réparer ses erreurs alors qu’il y replongeait toujours. La situation semblait définitivement perdue lorsque Sandra, apprenant on ne sait comment leurs déboires financiers, leur avait proposé une issue de secours, un odieux marché qu’ils avaient fini par accepter. Sandra se proposait en effet de rembourser la totalité de leurs dettes si Salma acceptait, durant toute une nuit, de se prêter entièrement à tous ses caprices, sexuels ou autres, et cela, sans aucune retenue. C’est un mélange d’affection et de haine pour celui qui allait devenir son mari qui l’a décidée à accepter la proposition. Une leçon humiliante pour son fiancé, pour lui montrer jusqu’où ils devaient se rabaisser pour s’en sortir et rattraper ses erreurs. Ils étaient acculés au pied du mur, et elle devait maintenant payer de sa personne, et lui ravaler son orgueil de mâle bafoué pendant qu’elle deviendrait le jouet sexuel d’une bande de dépravés. Un sacrifice qui ne serait pas vain s’il guérissait du démon du jeu. Et c’est aussi par une fierté stupide de ne pas se dégonfler et montrer sa peur à ...
... Sandra qu’elle avait répondu positivement au défi que lui avait lancé celle-ci. Et voilà, comme une idiote elle se retrouve maintenant à jouer les esclaves que l’on vend sur le marché ! Elle n’aurait jamais dû accepter, surtout en ayant connaissance depuis toujours des mœurs dissolues de cette lesbienne carrément nymphomane, adepte du bondage, SM et autres déviances sexuelles. Mais ses motivations de repartir à zéro et sur de nouvelles bases avec son futur mari étaient aussi pour elle la garantie de se libérer du joug familial. Un retour à la liberté et la faculté de pouvoir se consacrer de nouveau à sa carrière de chanteuse. Elle pense avec nostalgie à ses heures de gloire aux États-Unis, stoppées en plein élan par la mort de son père. Celui-ci, en disparaissant, a brisé le lien fragile qui l’unissait au monde occidental. Elle a alors regagné la France et renoué le dialogue avec sa mère algérienne. L’amour qu’elle a éprouvé pour elle a été également un retour à ses racines, où elle a retrouvé ses origines arabes, un long et insidieux endoctrinement relancé par les autres membres de la famille qui s’est pressée de lui rappeler ses origines et ses obligations. On lui impose maintenant certaines traditions auxquelles il lui est de plus en plus difficile de se libérer, mais ses rendez-vous organisés avec un membre influent de la communauté musulmane pour un mariage de convenance ont été la goutte en trop, la soumission et le total contrôle de son destin si elle se laissait trop ...