En route vers l'Allemagne
Datte: 05/01/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
extracon,
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inconnu,
voyage,
Partouze / Groupe
... l’anus ? Qu’en est-il de celui qui palpite entre mes doigts ? Dans mon brouillard de sensations fortes, j’entends des grognements, des soupirs, des grommellements, des geignements, mes hommes sont au bout de leur limite ! Je sens que le moment est imminent ! Je dirige la queue que j’ai en main vers mon visage, accentuant mon mouvement de pitonnage. Soudain, une voix rauque crie : — Go ! Aussitôt quatre jets fusent, chauds, visqueux ! Du foutre coule dans ma bouche, une salve vient s’aplatir sur ma joue. La grosse queue qui est dans mon vagin expulse des tonnes de sperme, me remplissant, m’envahissant, tandis que dans un ultime coup de reins, le dard qui me fend le cul remplit à son tour mes entrailles ! C’est trop bon ! C’est trop divin ! J’explose en mille morceaux, comblée, remplie, rassasiée, débordante, moi, leur poupée saturée de sperme ! Je décolle par-delà le septième ciel, la respiration coupée, le cœur à l’arrêt, prise dans un gigantesque vertige, tandis que des fleuves de sperme continuent de l’envahir sans relâche ! Après quelques autres petites agaceries et coquineries, je me prends un peu de repos et d’isolement dans la salle de bain, laissant les hommes avachis dans le salon. Eh bien, quelle soirée ! Je m’étonne moi-même ! Je ne me savais pas si… libérée, pour ne pas dire autre chose. Je me regarde dans la glace, des cernes sous les yeux, les pupilles brillantes, un étrange sourire aux lèvres : — Pfff ! Tu sais que tu es une sacrée salope, toi ? Mais le ...
... miroir ne répond rien, et pour cause ! Je fais couler un peu d’eau, je ruisselle littéralement de foutre, j’en ai partout ! Alors que, pour commencer, je me débarbouille le visage, soudain la porte s’ouvre sur Stephan : — Ah, tu es là ? Je ne te dérange pas ?— Non… je souffle un peu ! Et je me lave aussi ! Pas habituée à ce genre de… sport !— Je comprends… Alors que je ne m’y attends pas du tout, il me fait pivoter sur moi-même puis il me prend carrément dans ses bras et il m’embrasse ! Ce n’est pas désagréable, mais plutôt surprenant ! Je me laisse faire un tout petit peu puis je le repousse gentiment, je m’échappe de ses mains, lui tournant le dos, continuant comme si rien n’était ma toilette : — Eh bé ! Tu n’en as pas eu assez tout à l’heure ? Et puis, je suis toute collante !! À prime vue non, car il m’enlace doucement, se planquant légèrement contre moi : — Non, pas avec une femme telle que toi…— Tu dis ça parce que je ressemble à Veronika…— Pas du tout. Quand les autres étaient dans leur période « Veronika », moi, j’étais à Paris avec Cécile. Et ma petite amie ne lui ressemblait pas, ou si peu. Je le vois dans le miroir prendre un air songeur : — Tu as l’air de regretter…— Cécile était la femme de ma vie…— Était ? Pourquoi tu en parles au passé ? Tu peux tenter de la reconquérir ! Je le vois se rembrunir : — Je n’aime pas trop en parler, même si ça fait maintenant longtemps. Ne me demande pas plus de détails, s’il te plaît. Sache simplement qu’une saloperie de cancer l’a ...