En route vers l'Allemagne
Datte: 05/01/2019,
Catégories:
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Partouze / Groupe
... emportée en moins de deux mois, elle qui était la joie de vivre…— Ah merde !— Comme tu dis… Je me sens un peu idiote, je ne sais pas comment m’en sortir. C’est lui qui change totalement de sujet, se détachant un peu de moi, sans cesser de me garder captive : — Je suis souvent en Belgique, à Bruxelles, la plupart du temps. J’y serai dans quinze jours. Ça te dit que nous nous voyons ?— Tu… tu me proposes un rendez-vous, c’est ça ?— Oui, c’est ça. Tu me plais beaucoup. Je sais que tu as déjà un mari, je sais que tu as déjà Andreas. Ça ne me dérange pas d’être le troisième. À moins que tu n’aies d’autres amants ailleurs. Je plaisante pour détendre un peu l’atmosphère : — D’autres amants, non, pas encore… Mais ce n’est pas une mauvaise idée !— Dans ce cas, je me propose.— Ah… Il se plaque contre mon dos, m’enlaçant délicatement, ses mains sur mon ventre. Il approche son visage du mien : — Je sais que c’est soudain. Tu me plais beaucoup, Ariane, parce que tu es toi, et non parce que tu aurais des points communs avec Veronika ou Cécile. Non, c’est toi que je veux. Je ne me l’explique pas, c’est comme ça ! Eh bé ! Décidément, ces derniers temps, les choses vont nettement plus vite que je ne l’aurais imaginé ! Un peu gênée, je plaisante à nouveau : — C’est soudain. Dis plutôt que tu es intéressée par une femme mariée qui aime le sexe…— Je te mentirais si je disais le contraire. Mais il y a quelque chose d’autre, même si tu ne sembles pas me croire.— Excuse-moi, Stephan, mais c’est ...
... soudain…— Les coups de foudre sont soudains… Et il m’embrasse voluptueusement dans le cou ! Et là, je fonds ! Je ne sais pas pourquoi, ni comment, mais ça me retourne ! Visiblement, Stephan semble avoir compris, car il en profite pour saisir mes seins pour les caresser délicatement, sensuellement. Ça me donne plein de délicieux frissons dans tout le corps ! Je me ressaisis faiblement : — Tu… tu dis ça et tu fais ça à toutes les femmes que tu rencontres ! Sans se retirer de mon cou, tout en cajolant délicatement mes seins, jouant avec leurs pointes, Stephan répond d’une voix basse : — Je vais être clair, Ariane. Oui, il y a eu d’autres femmes dans ma vie, mais finalement, ça n’a jamais duré bien longtemps…— Tu sais, toi et moi, si ça se fait, ça va être aussi de l’éphémère !— Éphémère ? Tu veux dire quoi par là ?— Du très rapide, du très bref… Toi, tu es ici, et moi, loin d’ici.— Je préfère ne pas y penser… Néanmoins, Bruxelles n’est pas trop loin de chez toi.— C’est vrai…— Alors viens ! Puis impétueusement, il se plaque contre moi, glissant son braquemart entre mes fesses, cherchant visiblement ma petite entrée des artistes encore légèrement ouverte et lubrifiée, suite à toutes mes récentes folies, tandis qu’il capture voracement mes seins à pleines mains. Il dévore mon cou de baisers brûlants, je me laisse sombrer à nouveau dans ce puits ténébreux du désir obscur d’être une petite chose. Il ne lui faut pas bien longtemps pour que son gland épouse ma cuvette et en force l’entrée ...