En route vers l'Allemagne
Datte: 05/01/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
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inconnu,
voyage,
Partouze / Groupe
... France. Comme de coutume, je n’ai gardé que mon top afin d’être quand même présentable pour les autres personnes que nous croiserions en route, mais tout le bas est livré au regard avide d’Andreas, sans parler de ses mains baladeuses. Et il ne se prive pas de baguenauder sur mon corps dévoilé ! Et bien sûr, mon mari en profite aussi à sa façon, on ne change pas les bonnes habitudes, même si elles peuvent paraître étranges à beaucoup de personnes ! Comme de coutume, je lui offre quelques sucettes, et je constate avec plaisir qu’il réagit toujours aussi prestement à ma bouche câline. Lors d’une pause, c’est sur la banquette que j’ai dû subir les derniers outrages avant qu’il ne me rende tout à l’heure à mon mari ! Andreas y a été de bon cœur et je ne déteste pas qu’on me prouve de temps à autre à quel point on me désire ! — Tu as des cernes sous les yeux, Ariane !— À qui la faute, hein ? Je me fais baiser par tous les côtés et par tous les trous depuis vendredi ! Je ne suis qu’une faible femme, moi ! Pas Wonder Woman ! Il se contente de rigoler ! Aucune pitié ! Les kilomètres défilent, répétitifs. Je suis à présent assez fatiguée, je m’endors sur la banquette arrière. Je sombre dans un profond sommeil. Soudain, quelque chose me réveille, le camion est arrêté, j’ouvre un œil. Andreas est penché sur moi : — Ah, tu es réveillée ?— On est où ?— On vient d’arriver en Belgique, j’ai un petit truc à faire dehors…— En Belgique ? Tu as conduit d’une seule traite ?— Non, je me suis ...
... arrêté deux fois, mais tu dormais profondément. Je m’assieds sur le rebord, me frottant un peu les yeux : — Je crois que je vais t’accompagner…— C’est une simple aire avec que des arbres. Je ne me risquerais pas trop aux toilettes, elles sont souvent dans un drôle d’état, tu sais…— Va pour Dame Nature ! Je m’empare d’un mouchoir en papier avant de sortir. Il n’y a personne, je me décide de rester juste à côté du poids-lourd. Il fait frisquet, mon petit cul toujours dénudé a un peu froid. Je m’accroupis, Andreas ne bouge pas, j’essaye de le chasser : — Tu fais quoi, là ?— Je surveille…— Tu surveilles quoi ? Si quelqu’un vient ou mon pipi ?— Les deux !— Petit vicieux ! J’ai bien compris le message ; s’il n’y a que ça pour lui faire plaisir ! C’est avec une grande attention qu’il me regarde uriner, qu’il observe mon jet chaud sortir d’entre mes lèvres. Il n’en profite pas très longtemps, car ce fut bref. J’en viens presque à le regretter, car j’aime beaucoup son regard sur moi ! Alors que je fais le geste de m’essuyer, il bloque ma main pour s’emparer de mon mouchoir en papier. C’est avec une grande délicatesse qu’il m’essuie. Puis il dépose un gros bisou sur mes lèvres intimes. Finalement, ça ne me déplaît pas… Il part se poster un peu plus loin pour uriner à son tour. Voulant lui donner la monnaie de sa pièce, je le suis. Il demande : — Tu fais quoi ?— Je te regarde faire pipi. Chacun son tour !— Comme tu veux ! Un long jet sort de sa queue, scintillant sous le faible éclairage. Un ...