En route vers l'Allemagne
Datte: 05/01/2019,
Catégories:
fh,
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voyage,
Partouze / Groupe
... ! C’est avec un bien fou que j’accueille une tige bien raide dans mon intimité, m’offrant sans réserve à cet homme pourtant inconnu, il y a quelques heures ! C’est avec ravissement que je le sens coulisser en moi de toute sa longueur, lui à qui je me soumets avec la grande joie d’être sa chose, sa chienne adorée ! C’est alors que j’ai compris que je ne serais pas la femme d’un seul homme, ni que de deux… Inutile de dire que le dimanche matin fut consacré à se reposer ! Je viens juste d’émerger du sommeil vers treize heures environ. Andreas n’est plus dans le lit. Péniblement, je sors de la chambre, je sens une bonne odeur. Il est dans la cuisine en train de préparer à manger. — Y a longtemps que tu es réveillé, Andreas ?— Non, non, pas longtemps. Et toi ? Ça va ?— Moyen, moyen ! L’impression qu’un train m’est passé dessus !— Haha ! Ce n’est pas loin de la réalité ! Puis me serrant dans ses bras, il m’embrasse tendrement, mais passionnément. Je ne déteste pas ce genre de mise en route de la journée ! Nous déjeunons ; curieusement, nous ne parlons pas d’hier soir. Il me propose d’aller faire un petit tour dehors, histoire de prendre l’air. Il me conduit à la mer, sur une plage assez vide de monde. Nous nous baladons main dans la main, le long de la mer baltique ; ça me fait du bien, surtout avec quelques bisous tous les cinquante mètres ! On se comporte tout à fait comme un couple normal. Cette sensation est à la fois grisante et inquiétante… Pour me changer un peu les idées, ...
... j’envoie quelques SMS à mon lointain mari. Puis nous retournons chez Andreas, après un petit détour pour me faire admirer d’autres lieux. Mon amant a besoin d’une sieste pour être en forme pour revenir faire sa livraison. Ça me convient, moi aussi, j’ai besoin un petit dodo, même légèrement crapuleux ! Je suis serrée contre lui, allongés tous les deux dans le lit défait. Il me caresse distraitement, perdu dans ses pensées. Je lui demande : — Tu penses à quoi ?— Hum ? À hier soir… ça a été… une soirée mémorable !— Oui, je ne peux pas dire le contraire ! Il m’attire plus contre lui avant de dire : — Oui… tu étais déchaînée ! Mais bon, c’est moi qui avais introduit les loups dans la bergerie…— Tu… tu regrettes ?— Non ! Grâce à toi, nous avons tous vécu une soirée d’anthologie ! Une soirée comme il y en a rarement, peut-être la seule pour certains d’entre nous…— Dois-je comprendre que tu veux recommencer, Andreas ?— Je ne dirai pas non… mais pas tout de suite, ça casserait les choses, je pense… Quoique… Amusée par ses hésitations, je ris : — Faudrait savoir ! C’est oui ou c’est non ?— Tu es une sacrée femme dans ton genre ! Je suis bien content de t’avoir trouvée ! Et ça me désole encore plus d’être mal marié ! Ah, la vie est vraiment mal foutue ! Pour couper court, je l’embrasse. Peu après, nous faisons follement l’amour puis nous nous endormons l’un contre l’autre, laissant les choses aller leur cours. Un peu avant dix-sept heures, nous sommes dans le camion, en direction de la ...