Monsieur le directeur
Datte: 06/01/2019,
Catégories:
fh,
ff,
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fbi,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ecriv_c,
... sur les testicules gonflés, enserrait doucement la base du sexe. — Fais-moi goûter… chuchota-t-elle. Emmanuelle lui offrit sa bouche en signe d’assentiment. Marion la dévora avec fougue en laissant ses cheveux jouer sur le pénis de l’homme. Hervé se contracta, il luttait contre une libération prématurée. — Vous allez me rendre fou ! souffla-t-il.— Seulement fou ? Tu vas voir qu’on peut faire beaucoup mieux que ça… lui répondit Marion, provocante, en passant sa langue sur la verge palpitante, accompagnée par la langue d’Emmanuelle. Les langues des deux femmes se croisaient, se décroisaient, pourléchaient et se léchaient aux détours de moments délicieusement gourmands le long du phallus maintenant luisant de salive et de baisers. Marion risqua un baiser langoureux sur le gland suintant avant de laisser le pénis glisser dans sa bouche avide et aimante. Elle savoura chaque instant, chaque contact du sexe sur sa langue, contre ses dents, contre son palais sensible et ses papilles délicates. Chaque sexe d’homme avait son goût et son parfum bien à lui, celui-ci était exceptionnellement bon. Il avait le goût du désir et du plaisir, mais aussi le goût de la folie, de l’indécence et de l’interdit Il avait le goût du fantasme assouvi et inespéré. Le goût de la passion irraisonnée, brute et sophistiquée à la fois. Le goût de l’amour. L’amour du sexe, sans tabou et sans lendemain. L’amour du sexe sans regret et sans remords. Un goût unique, un délice absolu. La fellation dura ...
... longtemps. Marion aimait sentir l’effet qu’elle faisait aux hommes. Hervé aimait ce qu’elle lui faisait. Et ce plaisir nourrissait son propre plaisir, sa propre excitation. Elle se moquait presque du contrôle surhumain qu’elle imposait à Hervé. Elle était tellement excitée qu’elle était prête à le boire, à laper chaque goutte de l’orgasme qu’elle prenait un plaisir divin à préparer et à faire grandir. Elle imaginait la verge au fond de son vagin accueillant et impatient. Elle la sentait, la ressentait déjà contre les parois de son intimité gourmande et réceptive. Elle la sentait au fond d’elle. Elle la voulait en elle. Elle tressaillit avec délice en sentant les mains d’Emmanuelle sur sa poitrine. Des mains à la douceur insolente et électrique qui allumaient en elle les derniers feux de la jouissance en des centaines de petits incendies de plaisir sur ses seins, sur son ventre, puis sur son sexe. Puis dans son sexe où un doigt, plus délicieusement téméraire et indécent, se glissa entre les lèvres ruisselantes de son vagin déjà prêt, venant titiller son clitoris incandescent. Elle ne sentit que vaguement le frôlement du tissu, lorsque la femme lui retira son maillot. Elle savoura le souffle léger sur ses fesses nues. Elle se laissa gagner par la déferlante, merveilleuse de sensualité, qu’Emmanuelle déclenchait en elle. Lorsqu’elle sentit une contraction caractéristique contre sa langue, elle sut qu’il était temps de laisser à l’homme le temps de se reprendre. Elle abandonna le pénis ...