1. Monsieur le directeur


    Datte: 06/01/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme ecriv_c,

    ... s’en souvient encore, de ce jour où elle était arrivée devant la porte du bureau du big boss. Il était tard et les bureaux étaient vides depuis une heure ; dans la petite pièce d’à côté, seule la respiration mécanique du photocopieur troublait discrètement le silence. La porte était entrouverte. Elle n’avait pas osé frapper. Le directeur n’était pas seul. Ce n’est d’ailleurs pas lui qu’elle vit en premier. Une femme était assise sur l’accoudoir du bureau des invités. Cette femme, Marion la connaissait bien, c’était Emmanuelle, la femme du directeur. Hervé n’était d’ailleurs pas très loin. Il se tenait à genoux, sa tête dodelinant doucement entre les cuisses ouvertes de sa femme. Marion ne sut comment réagir. Partir ? Non, pas tout de suite. Elle ne pouvait détacher ses yeux du visage d’Emmanuelle, de l’impression de bien-être et de plaisir qui en émanait. Emmanuelle ronronnait doucement ; de temps à autre, entre deux petits râles de plaisir, elle laissait échapper un léger cri de jouissance. Sur le buste tendu en arrière, sa poitrine, désespérément comprimée par un soutien-gorge de soie rouge et noir qui avait résisté aux préliminaires, semblait appeler d’autres caresses que celles qu’Emmanuelle leur accordait parfois. Poussée par une curiosité téméraire et irréfléchie, Marion avança prudemment dans un recoin de l’entrée. Elle voyait maintenant Hervé. Si elle ne voyait pas son visage, dissimulé par les cuisses à moitié recouvertes par la jupe retroussée, elle devinait sa ...
    ... langue brûlante et gourmande allumant lentement mais sûrement un orgasme qui allait bientôt embraser le corps offert de sa femme. Marion observait avec envie les mains de l’homme malaxant avec une délicatesse experte les fesses d’Emmanuelle, puis le haut de ses cuisses, s’aventurant même parfois sur son ventre avant de redescendre vers le mont de Vénus. Puis elle imagina, plus bas, la rencontre des doigts et de la langue dont l’action conjuguée sur le clitoris surexcité arrachait systématiquement un cri incontrôlé de la bouche entrouverte et haletante d’Emmanuelle. Ses soupirs de plus en plus appuyés déclenchaient en Marion des picotements délicieux et troublants, insupportables de volupté. Elle s’adossa contre le mur, luttant contre une envie impérieuse de se faire du bien. Ses seins s’étaient dressés. Elle passa sa main entre ses cuisses et, malgré l’épaisseur du jean’s, elle sentit son sexe sensible et excité. C’était folie. Une exquise folie. Marion dégrafa son jean’s et glissa sa main sous la petite culotte de coton déjà bien humide. Elle retint avec peine sa respiration au contact de ses doigts sur sa toison. Elle s’obligea à serrer les dents lorsque son majeur impatient parvint aux lèvres suintantes entre lesquelles il se glissa. Emmanuelle se cambra, ses mains se crispèrent dans les cheveux de son homme, elle ne savait si elle devait l’encourager ou le stopper. Son corps hésitait entre l’explosion et l’abandon. Il opta finalement pour les deux. Les cris d’Emmanuelle ...
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