1. Monsieur le directeur


    Datte: 06/01/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme ecriv_c,

    ... restait qu’une invitée, et, de plus, sa subalterne… Elle l’avait senti tellement distant à cet instant qu’une vague mélancolique était venue s’échouer dans son esprit distrait. A deux heures du matin, Marion n’arrêtait pas de se tourner dans son lit, les yeux ouverts. Devant la fenêtre ouverte, le rideau dansait mollement, apportant une note rafraîchissante. De l’autre côté du mur, Jean-Michel semblait, lui aussi, bien énervé. Il devait avoir les mêmes regrets en ce qui concernait Marion. Lui, les clins d’œil, les sourires polissons, les allusions grivoises, il avait tout tenté. Marion se mit à regretter de ne pas y avoir répondu. « Faute de grives, on mange des merles » lui disait parfois sa grand-mère. Et il y avait là justement, dans la chambre d’à côté, un merle qui piaffait. Elle mit un tee-shirt et ouvrit la porte. Au moment de frapper à la porte du voisin, des bruits attirèrent son attention. Cela venait de l’extérieur. En fait de bruits, c’était des cris joyeux retenus maladroitement. Marion s’approcha de la fenêtre. L’eau de la piscine était agitée de remous désordonnés, la pleine lune s’y reflétait en morceaux brisés. Là, à quelques mètres, Marion reconnut immédiatement la fine silhouette d’Emmanuelle qui sortait de l’eau pour venir s’asseoir sur le transat. Elle était entièrement nue et sa peau trempée jouait avec les reflets de la lune. Hervé émergea à son tour, et vint vers elle. Marion sentit son corps et son désir se réveiller brusquement. Ses yeux venaient ...
    ... de se poser sur le corps nu de l’homme, acteur de ses rêves insensés. Un homme au corps tonique et bien charpenté. La distance de l’eau au transat était très courte, pourtant Marion avait eu le temps d’admirer les fesses musclées et surtout le sexe en érection, qui criait son impatience. Marion se pinça légèrement la lèvre lorsqu’Emmanuelle se saisit du pénis tendu entre ses deux mains câlines. Hervé se pencha. Les deux amants s’embrassèrent goulûment. Marion vacillait dans son désir et dans sa frustration. Elle se surprit d’en vouloir à l’homme de faire ça sous ses yeux, mais se sentait prête à tout lui pardonner au premier mot. À tout lui donner au premier appel. Lorsqu’elle vit Hervé pétrir délicatement les petits seins dressés de sa femme, elle aurait tout donné pour être à la place d’Emmanuelle, pour sentir les mains sur ses seins à elle. Il avait des mains tellement sensuelles, à la fois douces et solides. Elle voulut imaginer ça, mais elle s’interdit de fermer les yeux. Mais, lorsqu’Hervé se redressa, Emmanuelle, qui n’avait pas lâché sa belle proie, attira son homme vers elle. Le sexe tendu disparut un instant dans sa bouche gourmande, avant d’en ressortir, luisant et droit. Hervé passa ses doigts dans les cheveux trempés de sa femme, et lui massa doucement la tête, délicatement, sans à-coup. Pour Emmanuelle, il devait s’agir d’un signe de contentement, d’approbation et d’encouragement car elle poursuivit la fellation avec un délectable plaisir. Captivée par la scène, ...
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