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La Pute et le Gigolo
Datte: 12/08/2017, Catégories: Anal Mature, Première fois
Ce mois de décembre pourri me rendait peu enclin à la bagatelle. Lerythme du travail s'était pas mal emballé à cause des échéances de find'année. Je n'avais guère supporté la pression du nouveau chef deservice. Bref une mauvaise crève mal soignée matinée d'un début dedépression avait eu raison de moi. Bref je n'étais pas mécontented'avoir déserté l'embarcation à un tel moment. Sans doute me ferait-onpayer ma défection. En attendant je savourais de demeurer chez moi à nerien faire. Je n'en draguais pas moins sur les sites allumant à tout-vademeurant pourtant fort sage.Sur le coup je m'étais remise un peu plus tôt que prévu. J'eus le soind’appeler le big boss lui annonçant que je pourrais prématurémentrevenir aux abords de Noël pour donner en sorte un coup de main d'autantque beaucoup à une telle période projetaient de prendre leurs jours decongés. Ma proposition fut reçue avec enthousiasme. En effet mon secoursfut de tous applaudi hormis par l'autre imbécile. Je n'en avais pasmoins marqué un point. On me laissa entendre que je pourrais obtenir dèsle mois de janvier prochain un autre poste autrement plus rémunérateur.Ainsi devais-je dans trois jours reprendre le chemin du boulot. De toutefaçon je m'ennuyais passablement à l’appartement en compagnie de meschats. J'escomptais un moment accéder à une demande de rencontre avec untype dragouillée sur le Net. Puis cela me parut d'un coup prosaïquevoire vulgaire. Je n'avais pas envie d’être sautée de cette façon. Uneautre idée me ...
... traversa la tête. Je pensais depuis quelque temps ausourire de beau gosse d'un Karim. Celui-ci tout gamin servait en unsalon de thé à deux métros de là. Il m'avait dragué gentiment auquel jen'avais pas donné suite.Je tins à l'honorer de ma première sortie convalescente. De toute façonj'aimais l'ambiance feutrée de ce lieu où l'on pouvait lire et où l'onpassait en fond musical de vieux airs de jazz. Puis j'avais besoin desavoir si j'étais encore désirable, le témoignage de mon miroirdemeurant par trop sujet à caution. Je n'en passais à moins une heuredevant lui tant pour m'assurer tant que mon maquillage ne fut outré quepour essayer maints vêtements. Sur la fin je concédais un maquillage partrop osé et une mise qui ne l'était pas moins. En un mot il me plut deparaître pute.C'était un temps de chien. En une autre circonstance il m'eût sûrementdissuadé de sortir et de persévérer dans mon envie. Heureusement lespremiers regards mâles me confirmèrent mon triomphe. Les femmes point enreste m’assurèrent plutôt de leur désaveu. J'étais sur la bonne voie. Laquarantaine passée je savais déborder d'une vraie sensualité. Mes formesun peu arrondies n'en attiraient que plus le chaland. J'évoquais sansdoute des empoignades furieuses dans un lit. Mon hostile chef de servicem'avait sûrement reproché ce style. Je nuisais au calme de son bureau.Karim parut non moins ébloui que les autres dont l'un dans le métros'était vulgairement collé à moi. Je voyais le moment où ce porc allaitglisser sa main ...