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La Pute et le Gigolo
Datte: 12/08/2017, Catégories: Anal Mature, Première fois
... sur ma cuisse prête à déclencher une gifle. Il est vraique mon manteau dissimulait à peine que dessous, la jupe était tropcourte et que je portais des bas pour lors que les cuisses fussentcroisées. Cet accoutrement convenait davantage en ce salon de thé dansla mesure où convergeaient vers lui le regard de nombre de mâles. J'aitoujours adoré allumer et percevoir que dans un pantalon cela bande.Prodiguant un large sourire vers Karim je lui manifestais assez quej'étais dans de généreuses dispositions à son égard loin de la distanceque j'avais naguère affecté. Sans doute voulais-je ne pas passer pourune femme facile. Ce play-boy devait avoir trop l'habitude qu'on luisuccombât. En cette après-midi de décembre il y avait fort peu de monde.Nombre étaient déjà aux achats de Noël battant la semelle dans lesmagasins. J'étais convié chez ma mère et son nouveau compagnon etj’avais réglé la question par des chèques cadeaux. Karim s'enhardit à metenir compagnie.La conversation commença à rouler banalement sur la météo exécrable. Ils'enquit de mon absence et parût sincèrement affecté par mon bobo.Croisant à un moment mes cuisses plus haut, il n'en lâcha pas moins àcet instant un fort propos leste et vulgaire. « Je vous eus volontierstenu compagnie au lit ». J'avais le loisir de m'offusquer et de coupercourt à notre conversation. Cependant je vis qu'il voulait me tester etaccélérer son offensive. Du même ordre il me fit observer qu'un vieuxvicieux là-bas n'avait de cesse de nous regarder. ...
... Cela l’enchantait.Karim s'esclaffant me souffla : « Je parie que ce con vote FN ! »Renchérissant avec un ton plus sérieux il demanda : « Vous n'avez riencontre les Kabyles , » Je lui répondis avec la dernière sincérité que jen'y connaissais rien en races ni en diverses ethnies. Quelqu’un me plaîtou pas. A cet égard, il me gênait point qu'il matât sans vergogne mescuisses et ma chair blanche affleurant à la naissance des bas. Nous envînmes à un ton plus confidentiel. Il fit mine de se plaindre quec'était la première fois que je consente à une conversation avec lui. Jelui rétorquais qu'il se consolait ailleurs.Nous en étions à la badinerie voire à l'humour vache. J'étais heureuxque ce mignon eût aussi un bel esprit. Il m'avoua que ce boulot était unpis aller. Que tous ses diplômes étaient ici inemployés. Il convintqu'il vivait assez d'expédients et notamment qu'il était entretenuactuellement par une femme mariée. Je lui dis que je n'étais pointchoquée par son statut de gigolo. Je balançais même dans un sourire quec'était avec celui de pute le plus vieux métier du monde. Nous éclatâmesde rire ensemble. Peu à peu nous en vînmes au tutoiement. J'avais laculotte mouillée. Il devait bander.Il devait terminer dans moins d'une heure son service. Il voulaitm'emmener boire un verre dans une brasserie. Je lui dis que cettepremière sortie m’avait un peu entamé et que ce serait mieux que notreconversation se poursuivit chez moi. Il y faisait bien chaud ; J'yproposais aussi du bon thé. Il ne ...