1. La Pute et le Gigolo


    Datte: 12/08/2017, Catégories: Anal Mature, Première fois

    ... pouvait espérer une meilleur issue etun meilleur tempo. Il m'assura qu'il me rejoindrait dès que possibleaprès être rentré chez lui et qu'il se fut changé. Tout allait trop viteà mon gré mais n'avais-je pas mis la main à la pâte ? Ce jour-là j'avaisenvie indubitablement d'une queue.De toute façon il était tard pour passer pour autre qu'une salope. Il enavait vu d'autres mon mignon. A mon âge on est une garce et la pudeur aété depuis longtemps jetée aux oubliettes. Le rapport physique et sexueln'excluant pas pour autant qu'il ne put y avoir quelque chose de profondet de respectueux entre deux amants. Nous avions convenu de nousconnaître très vite et très profond au sens biblique. N'y allant parquatre chemins, je le reçus en peignoir avec dessous mon string et mesbas couture. Du reste il avait assez deviné de ce string lors de laprécédente conversation.J'étais prise d’excitation voire d'un trac inattendu. Outre qu'on nem'avait sauté ainsi depuis deux mois, j'avais par trop désiré ce gamin.Je ne trouvais pas moins émouvant qu'il vint chez moi. C'eût étédifférent avec l'un de ces vieux cochons du Net qui sans égards pourvous déballe la marchandise et vous intime de les sucer à fond. Karimparut rasé de près et parfumé. Il était affublé d'un beau costard. Je nepouvais rester insensible à pareille délicatesse. Hôtesse d'un jour jetins à lui montrer que je savais servir aussi le thé et que celui-ciétait d'une grande qualité.Le miroir renvoyait un visage fardé et qui était le mien. ...
    ... Je neconcevais qu'il ne m'eût déjà traité de pute. Sûrement l'avait-il pensé.Par jeu je déclarais : « J'ai mis par trop de fard Bébé ? Ne fais-je pasun peu Geisha ? » Il répliqua sur le même mode de dérision : Je baiseclassique. L'Empire des sens c'est pas mon truc. » Peu après ce bon mot,il se glissa jusqu'à ma bouche et m'embrassa. Ce môme était tout endextérité. Il avait du faire cela cent fois avec des femmes dans mongenre. Rapidement écartant les pans du peignoir, il considérât mes beauxfruits. Son œil vicieux semblait fort averti.J'éprouvais un peu d'humiliation à être évaluée tel une marchandise.N'étais-je pas trop vielle à son goût et ne trouvait-il pas certaines demes chairs fadasses ? Je m'en voulais de perdre mon assurance. Aussitins-je à lui abandonner toute initiative. Ses mains me palpaient etprenaient leurs aises. Finalement il ne marquait nulle répugnance. Bienau contraire. Sa main au fond de la culotte, il s’enquit à me caresseret à me faire jouir. On eût dit des notes de piano sous les doigts d'unvirtuose. Le sagouin embrassait bien. Je mouillais comme une folle etlui bandait non moins.Il m'avoua qu'il ne m'avait pas reconnu quand j'étais entrée dans lesalon de thé. Il s'était exclamé : « Quelle est cette créature? » « Displutôt que t'as pensé : quelle est cette pute ? » Il rit. « En effetpassé ton maquillage, je t'ai reconnu grâce à ton timbre de voix. Detoute façon tu m'as toujours plu. J'ai été assez explicite le premierjour. » J'en convins. Je le suçais à ...