1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 07/01/2019, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne

    ... retrouvé une certaine sérénité. Maxine l’attendait. Au premier coup de sonnette, la porte s’ouvrit. Marie-Jo eut une brève hésitation. Maxine n’était pas seule. Qui était cette magnifique jeune femme ? Elle se trouva soudain très bête quand elle réalisa que c’était bien sa toubib. Les cheveux dénoués, l’absence de la stricte blouse blanche révélaient un corps voluptueux. Pourtant elle ne brillait pas par son élégance : elle portait une espèce de long t-shirt informe qui, s’il ne cachait pas grand-chose de ses rotondités, ne la mettait guère en valeur. Bref flash comparatif : dans un autre format, un peu plus petite, avec des formes plus épanouies, elle avait autant de chien que cette garce de Sylvie. Marie-Jo se morigéna :Elle ne pensait qu’à ça ! C’était vraiment pas le moment ! Souriante, Maxine la conduisit dans le salon. Une pièce douillette, au charme suranné, où trois murs sur quatre disparaissaient derrière une immense bibliothèque. Elles s’assirent, face à face, dans de profonds et confortables fauteuils. Ne s’embarrassant pas de circonvolutions compliquées, elle prit la main de Marie-Jo et dit : — Maintenant, raconte-moi tout ! Marie-Jo lui raconta tout avec un calme inquiétant, pas seulement l’épisode fatidique, mais toute l’histoire, tous ses errements, toutes les humiliations qu’elle avait subis. Arrivée au bout de son récit, ses nerfs lâchèrent et elle éclata en sanglots. Maxine, qui jusqu’à là, s’était contentée de serrer, de plus en plus fort, la main qu’elle ...
    ... tenait, se leva, enlaça Marie-Jo, pressa sa tête contre sa poitrine en lui caressant maternellement les cheveux. Cette crise de larmes libératoire se tarit rapidement. Se comportant comme une mère, ou comme une grande sœur alors qu’elle était bien plus jeune que Marie-Jo, Maxine l’envoya prendre une douche pendant qu’elle lui préparait une tisane. Lorsqu’elle revint, Maxine s’exclama : — Wouah ! Je te retrouve ! Tu es vraiment très belle ! Était entrée dans la salle de bain, une femme échevelée, au visage dévasté par les coulures de rimmel, à la tenue débraillée. En revenait, une Marie-Jo, fraîche, le regard brillant, dans une nuisette affriolante. — Sylvie a fait une bonne chose : elle t’a permis de retrouver ta beauté.— Pas seulement : elle m’a présentée à toi. Sans toi, ce soir, je ne sais pas où je serais.— Range ton violon et buvons cette tisane ! Par contre, pour dormir, à moins que cela te dérange vraiment, tu devras dormir avec moi. Ma chambre d’ami sert de dépotoir. Y’a pas de piège. Si ça te gêne, on s’arrangera avec les fauteuils.— Je veux bien dormir avec toi, à une condition. Un sourire malicieux éclaira le visage de Marie-Jo. — Laquelle ?— Que tu me serres dans tes bras. Y’a pas de piège non plus, mais j’ai peur d’être seule cette nuit. Ainsi fut fait : le lit n’avait rien d’un lit orgiaque, c’était un de ces vieux lits étroits aux montants de bois qu’on voyait dans les chambres de nos grands-mères. Les deux femmes n’avaient guère le choix : la géographie du lit ...