1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (10)


    Datte: 08/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    La dernière séance Au printemps 1999 donc, je tombe sous le charme de Florence, une nouvelle et très jolie collègue. Toute petite, mais super bien faite et fort peu farouche… Malgré moi, je suis frappé d’un coup de foudre. Très vite, Florence se donne à moi, et nous nous entendons très bien au lit. Mais par-dessus tout, je suis amoureux fou de cette petite bonne femme. Malgré ses pleurs et supplications (pardon, pardon !) je quitte Maman pour me mettre sur un coup de tête en ménage avec Florence. Ce qui sera une erreur monumentale. Car si nous nous entendons plus que bien au lit, (nous baisons sans arrêt), pour la vie quotidienne c’est loin d’être le top, nous n’avons que peu de choses en commun. Et je finis par constater que si je l’aime sincèrement, il n’en va pas de même pour elle. Elle va me poignarder en me disant un jour qu’elle me considère comme un bon « copain de plumard », sans plus, et même sur ce point j’apprendrai que la petite pute me trompe avec d’autres collègues… Après deux ans d’une chaotique vie commune, nous nous séparerons en 2001. Mais Maman ne voudra pas que je revienne vivre avec elle, quelque chose s’est brisé. Et en ce qui me concerne, j’admets que j’apprécie la nouvelle liberté que m’offre la solitude, d’autant que je dispose à présent de mon petit « chez moi ». Nos relations mère-fils redeviendront chastes, ce qui ne nous empêchera pas de conserver une immense affection mutuelle, et de nous voir très souvent. J’étais loin de me douter qu’il y ...
    ... aurait un final à nos « jeux interdits », et quel final !... Un jour d’avril 2007, Maman fête ses 70 ans. En guise de cadeau, je lui offre un déjeuner dans un restaurant parisien très haut de gamme. Lorsque je vais la chercher chez elle, je suis subjugué. Certes, Maman a pris quelques rides et quelques kilos, elle porte maintenant des lunettes, un petit ventre tend sa très jolie robe en soie, mais elle reste plus qu’attirante. Finies bien sûr les jupes trop courtes, sa robe s’arrête aux genoux. Elle porte ce que je crois être un collant noir, et de magnifiques et très hauts escarpins rouges. Je ne manque pas de la complimenter : — Hé, tu es encore rudement canon ! Et puis, sexy tes collant et talons aiguilles ! Presque vexée, elle s’empresse de rectifier : — Ah non, ce n’est pas un collant, regarde ! Et de retrousser sa robe jusqu’en haut de ses cuisses, me permettant d’admirer de très jolis bas noirs, avec une lisière en dentelle, et un porte-jarretelles ! — J’ai mis cela exprès pour toi, en souvenir du passé ! Son choix vestimentaire me touche énormément, me permettant par la même occasion de profiter de la vue de ses superbes cuisses, tout juste un peu plus « pleines » qu’auparavant. Maman s’est délicatement maquillée, fait une petite queue de cheval, et parfumée. Tout à coup, je retombe amoureux d’elle, sentiment que je croyais évanoui à tout jamais. Et simultanément, je me mets à bander ! J’en ai presque honte, mais que c’est bon ! Bras-dessus bras-dessous, nous marchons dans ...
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