1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (10)


    Datte: 08/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Maman adorée, le « quand même » est erroné. Tu me plais, c’est tout. Tu me plais encore, tu me plais toujours ! Et j’ai de nouveau très très très envie de toi. Ma confession la ravit au point qu’elle se penche, et m’embrasse passionnément à pleine bouche. Je descends ensuite le petit string le long de ses jambes, avant de le lui retirer, et le porter à mes narines. — Tu es toujours aussi cochon ! Me réprimande-t-elle gentiment. — Et toi tu sens toujours aussi bon. J’ai couché avec quelques autres femmes, mais je reconnaîtrais ton odeur entre mille. zngzooc Maman souhaite que je lui enlève le reste, mais je décide de la garder en bas noirs, escarpins rouges, porte-jarretelles, et… avec ses lunettes. Je la veux telle qu’elle est maintenant, en 2007. Maman avance ses fesses au bord du canapé, ouvre d’elle-même ses cuisses en grand, et je me jette sur sa minette d’amour, déjà luisante de ses jus. Je la lèche longuement, explorant son con, le mordillant, buvant la liqueur de femme qui en sort en un filet presque continu. En même temps, de mes mains, je pelote ses cuisses bien pleines, érotiquement gainées de soie noire. Les yeux mi-clos, Maman n’émet que des onomatopées : — Oui, ah, oh, hummmm, oh ouiiiiiii !... Un orgasme violent la fauche, et elle m’asperge le visage d’un puissant jet de mouille. Elle se lève, me prend par la main, et m’entraîne vers sa chambre. A peine sur le lit, elle veut accélérer les choses. — Viens en moi, vite, mets-moi ta bite ! J’en ai trop envie ! En ...
    ... position de missionnaire, je me place au-dessus d’elle. Elle empoigne ma queue, et la place à l’orée de son vagin. Un ordre bref et précis claque, un ordre bien plaisant à exécuter ! — Vas-y, rentre ! Baise-moi ! D’une seule virulente poussée, me voilà en elle, en entier. Je retrouve avec délices la chaleur, l’onctuosité de sa chatte. Huit ans que je ne m’y suis pas introduit !... Je rame en elle, qui me comprime fermement entre ses cuisses. Elle ponctue notre acte de propos salaces : — Ah comme elle est bonne ta queue ! Je n’en n’avais pas eu en moi depuis si longtemps ! — Quoi ? Tu n’as couché avec personne depuis notre séparation ? — Avec personne. Seuls mes godes et vibros passent régulièrement par là, ainsi que dans mon cul. Mais ma vraie dernière bite, c’est la tienne. Et c’est si bon de la sentir à nouveau ! Allez, défonce-moi, ne te retiens plus, lâche-toi, baise-moi, baise-moi, baise-moi ! A ces mots, je me déchaîne, et la défonce littéralement. Je me lâche sans restriction : — Tu es trop belle, trop bonne, je vais te déchirer, t’éventrer ! — Hé, doucement, je n’ai pas envie de finir à l’hôpital ! s’esclaffe-t-elle/ Ses seins s’agitent dans tous les sens, son ventre replet ondule, elle croise ses chevilles dans mon dos afin de mieux me retenir. Et j’explose déjà en elle, retrouvant mes jouissances d’antan, une bonne douzaine de giclées de foutre dans la cramouille maternelle ! Maman pousse un hurlement à ameuter l’immeuble. Quelle extase ! J’ai malgré tout conscience ...
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