Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (10)
Datte: 08/01/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... boutons de ma chemise. — Maman, que fais-tu ? Tout cela est fini, à nos âges. Tu en as 70 et moi 50. — Justement ! Il nous faut encore en profiter un peu, surtout moi !... La vie passe si vite. Et puis cesse donc d’être hypocrite. Depuis que tu es arrivé ce matin tu n’as cessé de me dévorer des yeux, je dirais même plus : de me déshabiller du regard. Ose prétendre le contraire ! Vaincu, terrassé par ses affirmations ô combien exactes, je signe ma « reddition sans condition ». Elle me déshabille complètement, embrassant chaque partie de mon corps qu’elle vient de dévoiler. Encore vêtue, elle entreprend de me masturber, tout en me roulant une très longue pelle. Puis elle se penche sur moi, et engloutit ma bite, dure comme du béton. Elle n’a rien perdu de son savoir faire de bonne suceuse, elle me dévore jusqu’aux couilles, émettant ses habituels et très cochons bruits mouillés. Je dois freiner son ardeur pour ne pas venir trop vite. — A toi maintenant, déshabille-moi. Fous-moi à poil, et baise-moi, baise-moi à mort. Dans la ou les positions que tu voudras, dans le trou que tu préfères, voire… tous les trous. Encore une fois je veux être ta femme, ta chose, ta salope. Fais selon tes envies. Mais souviens-toi et surtout profite bien : ce sera l’ultime fois entre nous. Il faut savoir mettre un terme, même aux meilleures choses. Et il n’y aura pas de meilleur jour que cette date symbolique ! Ses vœux exprimés de manière très crue, je sais que j’ai donc une dernière fois carte ...
... blanche. Alors que je n’ai qu’une envie, celle de me jeter sur elle, de la baiser, la défoncer, l’exploser comme un malade, je me dois de faire durer le plaisir. Me forçant à la lenteur, je lui ôte son chemisier, elle m’apparaît en adorable soutien-gorge fleuri, un soutif toujours aussi rempli ! Alors que je m’apprête à le dégrafer, elle émet une réserve : — Tu sais, mes seins ne sont plus tout à fait ceux que tu as connus… Passant outre la remarque, je retire l’affriolante petite pièce de lingerie. Bien sûr, la poitrine maternelle est un peu tombante à présent, mais elle n’a rien perdu de son volume, et je retrouve avec plaisir les larges auréoles et les petits tétons fièrement dressés. Je la rassure bien vite. — Oui, tes seins tombent un peu, mais ils restent magnifiques, je les aime toujours autant, fais-je en les soupesant de mes mains puis en les couvrant de baisers et de léchouilles bien baveuses, à les rendre luisants en totalité. Je m’attaque ensuite à la minijupe, assurément trop courte et exiguë pour une dame de son âge. Ce qui nous fait rire tous deux, car je peine à lui faire franchir les hanches. Maman possède à présent un bon petit ventre, mais qui n’a rien de laid. Au contraire, je le trouve touchant. Le ventre d’une femme qui a su profiter de la vie, du sexe, de la bonne chère, sans excès toutefois. Constatant que mes yeux fixent le fameux petit ventre, elle s’excuse presque : — Je sais… il n’est plus aussi plat qu’avant. Mais, est ce que je te plais quand même ? — ...