Platja d'Aro - Un, dos, tres...
Datte: 08/01/2019,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
revede,
noculotte,
intermast,
pénétratio,
extraconj,
... fameuse femme !— Que dire… elle est adorable, elle me plaît beaucoup… mon idéal en quelque sorte, mais pas disponible…— Elle est mariée ? Des enfants ? Cessant de ramer, le regard perdu au lointain, il soupire : — Elle est surtout trop bien pour moi…— Tu es défaitiste ! Je t’ai connu plus combatif !— Je suis réaliste, j’ai une petite chance, sans plus.— Eh bien, tente cette petite chance !— Facile à dire, je ne sais pas bien comment m’y prendre, je ne veux pas gâcher cette faible chance. Dois-je attendre ? Forcer les événements ? Je ne sais pas.— Ça, je ne suis pas à ta place, Antoine ! Il tourne la tête vers moi : — Oui et non… Justement, tu peux m’aider, Damien !— Ah bon ? Comment ?— Comment tu t’y es pris avec Sophie ? Non, c’est pas ça que je veux dire… Non, imagine que tu dois aujourd’hui séduire ta femme, sans qu’elle soit ta femme, tu ferais comment ?— Eh oh, c’est compliqué, ton truc ! Tu veux dire par là que la femme que tu vises a des similitudes avec ma femme ?— Je ne peux pas dire le contraire… Amusé, je souris : — Aaah ! Je comprends mieux !— Tant mieux ! Tu ferais comment ?— Si ta dulcinée est un peu comme ma Sophie, il faut être calme, patient, mais savoir forcer ta chance, et ne pas hésiter à y aller de bon cœur si tu vois une ouverture !— Ah OK… je vois… En espérant que ça marche…— Moi, je t’ai dit pour Sophie. Après, pour ta dulcinée, je ne sais pas…— En tout cas, merci du conseil ! Puis il change complètement de sujet, me proposant une sortie sur un ...
... mini-voilier pour demain. J’accepte. Quelques minutes plus tard, nous sommes de retour sur la plage, auprès de Sophie qui lit, allongée sur le ventre, un slip de bain presque transformé en string. C’est vrai qu’elle est belle et bandante, ma femme ! Si l’objet des désirs d’Antoine est effectivement comme ma Sophie, j’espère pour lui qu’il sera au moins aussi heureux que moi ! C’est à mon tour d’aller faire un petit tour sur la grande bleue, mon mari insiste, me disant que la vue est belle. Fermant mon livre, je me relève, j’enfile mon top en forme de bandeau, j’ajuste mieux mon slip. Puis je me dirige vers le canot où m’attend déjà Antoine, qui m’aide à monter. Il est un peu pressant dans son genre, mais reste galant, voire légèrement suranné. Durant ce temps, Damien, maintient le canot afin qu’il soit plus stable. — Bonne balade, me souffle mon mari.— Merci, mais tu sais, on ne va pas faire le tour du monde ! Il se contente de rire puis il s’éloigne. Un peu surprise, je le regarde s’éloigner. Je trouve ça curieux. Ils se sont dits quoi, ces hommes ? — Et c’est parti ! clame Antoine. Me voici à quelques encablures du rivage avec un Antoine tout en muscles qui souque ferme. Nous nous dirigeons visiblement vers la pointe rocheuse. — Ne t’inquiète pas, Sophie, je m’y connais…— Tu aurais mieux fait de ne rien dire ! Je ne m’inquiétais pas, justement ! Et pourquoi je devrais m’inquiéter ?— Oh, je disais ça pour te rassurer…— Me rassurer de quoi, Antoine ? Il arrête de ramer et me montre ...