Platja d'Aro - Un, dos, tres... - Histoires de Sexe

Platja d'Aro - Un, dos, tres...

... du doigt quelques rochers affleurants : — Ces trucs-là… Mais je sais les éviter…— C’est préférable, car même si je sais nager, le rivage commence à s’éloigner.— Pas de souci, on va justement se rapprocher. Tu vois la crique là-bas ?— Euh… oui… celle à côté de la pointe ?— Oui, celle-là, et bien, c’est là qu’on va.— Pourquoi ?— Juste pour visiter, voyons… Surtout en compagnie d’une belle femme comme toi ! Quelque chose me dit qu’il a surtout envie de me visiter, moi. Mais néanmoins, je me laisse portée par les événements comme je me laisse portée sur l’eau dans ce canot pneumatique. Je lui souris : — Tu n’es qu’un vil flatteur !— Pas du tout ! Tu es une belle femme, une magnifique femme, celle que j’aurais énormément aimé avoir dans ma vie beaucoup plus tôt ! Damien a bien de la chance ! J’aimerais bien que ce soit mon tour qu’avec sa chance !— Tu t’aventures dans un terrain vaseux, Antoine…— En tout cas, un grand merci pour ta culotte, j’ai fait de beaux rêves, hier soir ! Je ne m’attendais pas trop à cette déclaration incongrue, je rougis ! — Tu sais que tu es adorable à rosir de la sorte !— Continue comme ça, et je regagne le rivage à la nage !— Avant que tu ne sautes dans l’eau, permets-moi de te dire que j’ai beaucoup apprécié que tu t’étales de la crème tout à l’heure ! C’était un magnifique spectacle ! Si, si. Je rougis à nouveau. Antoine change complètement de sujet. Peu après, nous abordons la petite crique en question. Galant homme, Antoine me donne la main pour ...

... m’aider à sortir du canot. Par contre, bien que je sois arrivée sur le sable sec, il « oublie » de lâcher ma main et la garde fermement dans la sienne. Nous visitons donc, main dans la main, l’endroit. Soudain, il se plante au milieu de la minuscule plage : — Ah, quelle situation idyllique ! Être dans une mignonne crique avec l’adorable femme de sa vie !— Je crois que tu en fais trop, là…— Ah bon ? Cette crique n’est-elle pas mignonne ?— Euh… si…— N’es-tu pas une femme adorable ?— Ben…— De ma vie ? Profitant d’un léger relâchement, je dégage ma main de la sienne : — Là, tu exagères… C’est l’air des vacances qui te monte à la tête.— Dans ce cas, ça va faire quelques années qu’il me monte à la tête !— Ce que tu dis !— Tu ne me crois pas ?— Je ne sais pas quoi te répondre… ça me semble… soudain… Il se plante devant moi, mains sur les hanches, portant en avant son bassin : — Et ça, tu crois qu’il ment ? Je bande dur comme pas possible ! En effet, je ne peux pas dire le contraire ! Pour un machin, c’est incontestablement un machin dur ! Son short est tendu à craquer. Je me demande ce qu’il doit avoir entre les jambes pour que ça donne ce tel résultat ! Je chasse vite cette pensée, ce n’est pas trop le moment ! — Si tu rangeais ton attirail et si tu ne t’excitais pas tout seul, tu aurais moins de soucis…— Je ne m’excite pas tout seul, c’est toi qui m’excites, Sophie !— Bon, peut-être, mais je suis la femme de Damien !— Et alors, ça change quoi ? Tu serais la femme du président de la ...