Platja d'Aro - Un, dos, tres... - Histoires de Sexe

Platja d'Aro - Un, dos, tres...

... République que ça serait pareil ! Ça va faire des mois et des mois que je rêve de toi, et depuis hier, c’est pire encore, car tu es face à moi ! Et dans une tenue affriolante ! Je m’énerve un peu : — Eh oh ! Je ne vais quand même pas aller sur la plage en gros anorak ! C’est déjà bien beau que tu m’aies vue seins à l’air, n’en demande pas trop !— Comprends-moi, essaye de te mettre à ma place, tu es la seule dont j’ai envie depuis des mois, c’est de toi dont je rêve la nuit.— Trouve-toi une femme, tu es mignon, tu es un homme bien ! Un peu désabusé, il lâche : — Mais pas assez bien pour toi…— Comprends-moi, toi aussi ! Je suis mariée ! J’aime Damien, et je n’ai pas l’intention de lui être infidèle !— Dommage… Dans mes rêves les plus fous, je m’imaginais vieillir avec toi, main dans la main… Je suis un peu déboussolée : — Je te remercie de… l’affection que tu me portes, mais je ne suis pas libre, je ne peux rien pour toi !— Pas même me soulager un peu ? dit-il tout en désignant le tissu tendu de son short. À la fois attendrie par ses sentiments et agacée par son insistance, je rétorque : — Branle-toi tout seul !— Je peux ? Dans quel pétrin je me suis foutue ? Je m’assieds sur un rocher : — Fais ce que tu veux…— C’est toi que je veux ! Mais je sais que ce n’est pas possible…— Ah ! Au moins une parole sensée !— Pas pour l’instant, en tout cas… Mais j’ai bon espoir !— Je retire ce que j’ai dit ! Avec un naturel que je ne lui soupçonnais pas, Antoine extirpe de son short une ...

... verge bien tendue. Je reconnais que j’ai vu pire dans ma vie, je dois aussi admettre que c’est une belle verge. C’en est même étonnant. Mais ce n’est pas pour autant que je changerai d’avis, le zizi de mon mari me convient très bien ! Il commence à se branler sous mes yeux, lentement, délicatement. Puis il accélère le mouvement. Je me dis alors qu’Antoine doit être bon amant, une intuition subite. Je pourrai détourner la tête, mais je ne le fais pas, comme troublée par cet étrange spectacle de cet homme qui se masturbe pour moi. — Sophie… peux-tu… peux-tu montrer à nouveau tes beaux seins ? Je ne réponds pas, mais j’accède à sa demande, abaissant mon bandeau de quelques centimètres, lui dévoilant à nouveau ma poitrine. Dans cette atmosphère un peu étrange, ça ne me gêne pas de constater que mes tétons sont durs. Et je parie que mon voyeur-exhibitionniste attitré a dû le remarquer lui aussi. — Merci ! Ils sont décidément magnifiques !— Merci… Nous restons face à face, lui se masturbant de plus en plus fort, et moi, je regardant faire. J’essaye d’imaginer ce que ça doit être pour un homme d’être privé de femme depuis des mois, et de fantasmer sur une femme inaccessible ! Ça me trouble énormément de savoir que c’est moi, cette femme inaccessible… Prise d’une impulsion subite, je tends la main vers cette verge si droite. Antoine empoigne alors la base de son mandrin, laissant mes doigts effleurer la fine peau chaude. Je la caresse d’abord lentement puis je m’enhardis, saisissant à ...