Souvenirs d'une promenade urbaine - Histoires de Sexe

Souvenirs d'une promenade urbaine

... tu veux parler de la fameuse meuf sur l’échafaudage alors !— Bingo ! « Faaaameuse » en effet…— … et son mec !— Ouais, deux petits Français, bien blancs, bien beaux…— On était avec Abdu, encore ce soir-là…— Yesss, comme d’hab. Et c’est lui qui les a repérés d’ailleurs.— Hé les gars, vous entendez ? Y’a quelqu’un qui fait l’amour, là.— C’est vrai qu’il dit ça, Abdu. Je l’ai jamais entendu dire « baiser », ou quoi.— Qu’est-ce tu veux ? C’est un lover, Abdu.— On a mis un p’tit moment avant de piger où ils étaient planqués.— Faut dire que ça a dû leur mettre un coup d’arrêt de se faire lever comme ça.— Si tu veux pas te faire lever, faut pas baiser dans la rue.— C’est clair.— Moi j’ai cru qu’Abdu, il mitonnait. J’avais entendu que dalle !— C’est quand on s’est éloignés qu’ils ont remis ça.— Et moi ça commençait à me chauffer, alors je suis revenu en arrière discrétos pour les pécho.— C’est l’avantage d’être black, mon frère, on te voit pas trop dans une ruelle sombre la nuit. Ahahah !— Ouais, surtout quand t’a laissé tes deux gros lourdos de potes partir t’attendre au bar.— Hmmm. Du coup, on saura jamais ce qui s’est vraiment passé. Ça se trouve, tu nous mitonnes complet sur c’t’affaire.— C’est ça… je cherchais de quelle fenêtre ouverte venait le bruit, c’était tout proche. Et j’ai fini par piger qu’ils n’étaient pas dans un appart’, mais en pleine rue, grimpés dans l’échafaudage ! Je me suis pas fait capter tout de suite, alors ils ont commencé à se lâcher. Il la prenait debout, ...

... bien par derrière. Ils avaient gardé leurs sapes, mais je sentais qu’elle était bonne. Et puis ils n’arrêtaient pas de causer, de se dire des saloperies pour s’exciter. J’entendais pas très bien parce que j’étais pas assez près…— Tu te branlais un peu ?— Non, t’es fou. J’allais pas sortir ma teub en pleine rue là, j’étais à 10 mètres de la rue de Bourgogne ! C’est ça aussi qui m’empêchait de bien entendre. Trop de bruit de l’autre côté. Du coup, je me suis un peu plus rapproché et là j’ai pigé qu’ils parlaient de nous en fait ! Ça les avait trop excités de se faire gauler par trois keublas…— Par trois queues blacks, tu veux dire ! Ahahahah…— Grave. J’ai réussi à me tanker juste en dessous eux et là j’entendais tout : « Je te verrais bien en sucer une pendant que je continue de te baiser… Ça t’exciterait t’en sucer une ? » « Oh oui, qu’elle répond, les trois, je veux sucer les trois. »— Ffff… la cochonne.— « Qu’est-ce tu fais des autres pendant que t’en as une dans la bouche ? » « Je les branle, mon chéri, une dans chaque main. Et je les pompe chacun leur tour. Ça t’excite de me voir sucer trois belles queues blacks pendant tu me baises ? » « Mais grave, tu sens pas comme je suis raide, là ? » « Oui, défonce-moi bien… » Et cætera, et cætera.— Ma parole… là, t’as sorti ta queue et tu t’es astiqué, mon frère, c’est pas possible !— J’ai sorti ma queue… et je suis monté les rejoindre, oui.— Tsss, tsss…— Tu me connais, je l’ai jouée avec humour, genre livreur de pizza, en forçant ...