1. Souvenirs d'une promenade urbaine


    Datte: 08/01/2019, Catégories: fhh, couleurs, couplus, inconnu, Oral pénétratio, nostalgie, humour,

    ... un peu l’accent af’icain ! « Vot’commande de queue black est awivée, Madame, est-que je vous la monte là didon… ? »— Ahahaha. Et là, tu montes ?— J’ai jamais grimpé sur un échafaudage aussi vite, tu peux me croire.— Ah ouais, c’est plus motivant d’aller pilonner une petite chatte que d’aller piquer de l’enduit !— Ahahaha. Pour se faire pilonner, elle n’avait pas besoin de moi. Par contre, elle s’est jetée sur ma bite comme une morte de faim, mon frère.— Et lui, il était pas vénère de te voir débarquer comme ça ?— Non non, il a continué à lui dire qu’elle devait être bien contente d’avoir ce qu’elle voulait, à lui demander si elle était assez grosse, si elle en avait assez ou s’il fallait aller chercher les deux autres aussi… Bref, il s’est pas démonté… et il a continué à la démonter !— Ahahaha ! Et il t’a laissé la démonter à ton tour ?— Sa bouche était tellement bonne, mon frère, je voulais pas sortir de là ! Surtout qu’elle prenait un malin plaisir à me regarder régulièrement droit dans les yeux, à arrêter quelques secondes pour me sortir des saloperies…— Genre ?— Genre : « T’aimes ça quand je te regarde comme une petite chienne ? » ou « Elle est sacrément bonne la commande que tu m’as apportée dis-donc… »— Oh la-la… mon salaud, alors, tu l’as limée ou pas ?— Oui, oui, on a fini par échanger les positions. Son mec l’avait bien ouverte, et elle était trempé la mignonne. Je ne suis jamais rentré comme ça dans une femme !— Bien ouverte ?… Par un Blanc !— Hmm, il ...
    ... avait une bonne trique, crois-moi. Ça devait sacrément l’exciter de voir sa femme bouffer une grosse barre de chocolat…— Ahahah ! Attends, attends… t’as jamais de capote sur toi, Jay… Il t’a pas laissé te taper sa meuf sans capote quand même !— Euh…— Oh, je t’ai piégé !— Attends, si… je me souviens plus…— Oh la-la, t’es mort, Jay, je t’ai piégé. T’es jamais monté sur c’t’échafaudage !— Si si, il a dû m’en filer une, voilà.— La vie de ta mère, James ?— …— Jaaaaames ?— La vie de ma mère… J’ai pas osé et je regrette tellement. Ils étaient bien sur l’échafaudage, ils parlaient de nous… mais je suis pas monté.— Ohhhhhh, le gros mytho ! Quand je vais dire ça à Abdu… ! Des années que tu nous rabâches les oreilles avec c’t’histoire !— J’y repense souvent, tu sais. Moins depuis que je suis avec Salomé, heureusement. Avant elle, je m’astiquais tous les jours en repensant à ce qui aurait pu se passer. J’ai joué tous les scénarios que je les avais entendus raconter là-haut, et après j’inventais les miens.— Peut-être bien qu’elle y repense aussi en se caressant, tu sais… Peut-être bien qu’elle regrette aussi que tu ne sois pas monté avec ta pizza au chocolat qui sent la bite…— Ouais. Peut-être bien. Peut-être même que son mec y repense aussi ; il n’était pas en reste pour broder en racontant ce qu’elle pourrait faire avec nos trois queues. Peut-être bien. Peut-être même que c’est lui qui raconte l’histoire, d’ailleurs. Et qu’il va la faire lire à sa femme dès qu’il l’aura publiée. 
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