Maxime chéri...
Datte: 09/01/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
jeunes,
copains,
profélève,
revede,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
hdanus,
inithf,
... sport au lycée lui suffisait. De plus, son comportement avec sa mère est complètement changé, elle a souvent l’impression d’avoir maintenant affaire à un adulte. — Chloé, autant vous le dire en introduction, je suis totalement satisfaite de la façon dont Théo évolue, et je suis largement convaincue que tout ceci est le résultat de votre excellent travail. Si tout va bien, pourquoi m’a-t-elle demandé de venir ? Elle semble un peu gênée, je sens qu’elle a quelque chose d’autre à me dire, mais son silence m’angoisse, Théo aurait-il déjà tout raconté à sa mère ? — Je voulais aussi vous dire que jeudi, quand mon fils est revenu de son cours avec vous et que je l’ai embrassé, j’ai senti sur lui une odeur de parfum, et je voulais vous en parler, mais tout à l’heure, quand je vous ai embrassée, j’ai senti exactement le même parfum. Je n’ai pas de mérite, je travaille dans une entreprise qui crée des parfums, je sens toute la journée, c’est mon métier, aussi j’ai une très bonne mémoire olfactive. J’ai le feu aux joues, je réponds que j’ai souvent un gilet posé sur le dossier de la chaise, qu’il doit probablement s’appuyer dessus quand il travaille, qu’il n’est pas surprenant qu’il puisse s’être imprégné de l’odeur de mon parfum. Elle approuve de la tête, mais semble de plus en plus gênée par ce qu’elle a à me dire. — La dernière fois qu’il est allé chez vous, il est revenu avec une odeur autre que celle du parfum, une odeur très… intime, de femme… si vous voyez ce que je veux dire. ...
... Je prends un air étonné, mais me sens rougir. — Je n’ai certes pas votre odorat, mais je n’ai rien senti de particulier sur Théo lors de ce cours. Mon visage doit démentir mes affirmations, je me sens un peu prise au piège. — Pourrait-il avoir touché un de vos sous-vêtements ? Je ne veux pas le faire accuser à tort, je réponds qu’il est resté en ma présence pendant toute l’heure, et que je ne laisse jamais traîner mes sous-vêtements. Il n’y a aucune animosité dans son attitude, je ressens plutôt une envie de savoir, une curiosité de mère pour tout ce qui concerne son fils chéri. — Excusez-moi, mon intention n’était pas de vous accuser de quoi que ce soit. Nous ne saurons probablement jamais comment cette odeur est arrivée sur Théo. S’ensuit un long silence qui devient très vite pesant. Mon intuition me dit qu’elle sait, qu’elle ne veut pas me froisser malgré mon mensonge, qu’elle essaye de me ménager. Si je continue, je vais perdre sa confiance, alors je lui avoue tout, en bloc, la tête basse : — Madame, tout est de ma faute : votre fils avait besoin de mûrir, de prendre confiance en lui, de devenir adulte. J’ai fait un pacte avec lui, il travaille au lycée et en contrepartie je l’aide à découvrir ce qu’est une femme. Elle semble complètement rassurée par mon aveu, elle affiche un large sourire : — Chloé, vous pouvez même dire une très belle femme. Bien que flattée par son compliment, je me sens mal à l’aise, elle n’ose pas me dire qu’elle ne m’avait pas chargée de dépuceler ...