Maxime chéri... - Histoires de Sexe

Maxime chéri...

... son fils, et que mon initiative était déplacée, ou bien encore qu’elle apprécie les résultats, mais pas les moyens. — Excusez-moi, j’ai honte, je n’aurai jamais dû utiliser de telles méthodes pour faire travailler Théo. Je suis en face d’elle, debout, prête à pleurer, je n’ose plus la regarder en face. — Chloé, vous avez été honnête avec moi, je vais être tout aussi honnête avec vous : je me réjouis infiniment de tout ce que vous avez fait, car je n’aurais jamais osé vous le demander. Jusqu’à présent, j’avais essayé de résoudre les problèmes de scolarité de Théo, mais je m’étais trompé de cible, son vrai problème était un problème d’adolescence, de rapport aux filles, et vous, vous l’avez compris immédiatement. De plus, c’était mon rêve, que Théo soit initié par une femme telle que vous. Trop de garçons découvrent la sexualité en regardant des vidéos porno, ou en écoutant les exploits de leurs copains, et le résultat est tellement navrant… Je suis certaine qu’avec vous, il va devenir un amant merveilleux.— Madame, j’avoue que je ne comprends plus, quel est le problème au juste ?— Il n’y en a pas, je suis ravie de tout ce que vous avez fait pour Théo, je vous fais totalement confiance, mon fils est chanceux, vous êtes une fée tombée du ciel. Je ne vous remercierai jamais assez. Cette discussion m’a complètement retournée, j’ai vraiment le sentiment d’avoir été manipulée, et que la maman de Théo s’est bien moquée de moi. — Ainsi, vous m’avez fait venir pour me dire que vous ...

... étiez contente de moi. Pourquoi ne pas me l’avoir dit par téléphone ?— Quand j’ai compris que vous étiez allée bien au-delà de votre mission, j’ai eu très envie de vous revoir, pour mieux connaître la femme qui a transformé mon fils. En vous voyant là, devant moi, je ne suis plus étonné du miracle que vous avez accompli : Chloé, vous êtes si belle, si sensuelle, si femme, si désirable… Elle me sourit, me caresse le visage et poursuit : — J’envie Théo, j’aimerais tant être à sa place, je suis sûre que vous me feriez faire d’immenses progrès. J’ai été longue à comprendre où elle voulait en venir, tellement je culpabilisais. La boule est sortie de ma gorge d’un coup. Je n’ai plus ressenti que des picotements dans mon bas-ventre. Elle sourit, s’approche lentement de moi pour ne pas m’effaroucher, pose ses lèvres sur les miennes. Je m’abandonne sur le canapé, elle s’allonge sur moi, me caresse, m’embrasse, me déshabille, me sent. Quand elle arrive à mon sexe, elle me dit : — Impossible de me tromper, cette odeur de sexe sur Théo était tellement enivrante ! Je mourais d’envie de la goûter à sa source, j’espère que tu vas apprécier, Chloé, ma chérie ! Si j’ai apprécié ? Oh que oui ! Les voisins en parlent encore… J’ai quitté la maison de Théo épuisée (mais ravie) d’avoir trop goûté aux caresses de la maman. Elle n’était pas en meilleure forme que moi (mais tout aussi ravie) en me raccompagnant chez mon oncle. Tout cela m’a fait penser à ce que disait une copine de fac : « Le problème ...