1. La Foire


    Datte: 12/08/2017, Catégories: grp, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fsodo, Partouze / Groupe

    ... Caroline, toucha son corps, approcha son énorme sexe de sa fente puis continua. Il ne semblait pas pressé de faire son choix. Il disparut de mon champ de vision. Une rumeur commençait à monter dans l’assistance. Puis il réapparut, toujours impressionnant, revint sur ses pas puis s’arrêta devant le box de Caroline. Il leva un doigt vers le ciel comme pour montrer que son choix était fait. J’étais pétrifié par ce que je voyais. Cet homme au corps de pierre, si beau qu’il en paraissait effrayant, allait baiser ma femme ! Toutes les stalles s’étaient subitement éteintes, sauf celle de Caroline. La foule commençait à réagir, ne parvenant pas à maintenir le silence. On attendait fuser des « baise-la », des « défonce-la » étouffés. L’homme se plaça derrière Caroline, écarta de ses deux grandes mains les fesses offertes, arracha le string et planta sa queue dans la fente trempée de ma femme. Il la baisait à fond et je l’entendais gémir de plaisir. La foule était redevenue silencieuse, ce qui augmentait mon angoisse. Caroline paraissait minuscule sous cette montagne de muscles. J’étais fasciné par ce spectacle, par la vision de ce sexe mat qui entrait et sortait de la fente rasée que je connaissais si bien. Les muscles des fesses tendus, il ne modérait pas ses coups de reins tout en augmentant la cadence. Puis il se retira. L’homme se retourna vers les spectateurs, tenant son sexe tendu par la main, défiant l’assistance. Et la foule, pas encore rassasiée du spectacle, l’exhortait ...
    ... avec force. — Dans le cul, dans le cul, entendait-on partout. L’homme se retourna et se replaça en levrette au-dessus de Caroline. Il écarta de ses mains le cul de ma femme et cracha sur son oeillet déjà malmené lors du précédent assaut. D’une main, je le voyais placer sa queue sur la rondelle offerte… Je ne pouvais plus regarder. Presque par instinct, je fermai les yeux le plus fort possible. La foule était maintenant totalement surexcitée et criait dans tous les sens, encourageant l’homme. Malgré le brouhaha d’ambiance, j’entendais parfaitement les petites claques que l’homme administrait aux fesses de Caroline qui réagissait maintenant par des cris de douleur ou de plaisir. — Encule-la, défonce-la, hurlaient les spectateurs. Entendre sans voir est pire que tout et je ne pus résister au désir de voir. Quand j’ouvris les yeux, je vis le bellâtre sodomiser ma femme avec une intensité incroyable. Son sexe allait et venait de toute sa longueur à l’intérieur de son cul. Elle poussait des râles de douleur, de jouissance ou des deux, si forts que toute l’assistance, pourtant bruyante, l’entendait. Elle se caressait intensément la chatte, accompagnant parfois de la main le sexe de son amant. Puis elle jouit avec force, hurlant son plaisir, et s’affaissa sur le banc, ses jambes ne la portant plus. Fier d’avoir provoqué un si violent orgasme, l’homme arrêta ses va-et-vient. Il enfonça une dernière fois son vit tout au fond du cul dilaté, puis se retira. Il se mit debout et, de ses bras ...
«12...789...12»