La Foire
Datte: 12/08/2017,
Catégories:
grp,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
fsodo,
Partouze / Groupe
... puissants, il souleva le corps de Caroline, l’obligea à écarter les jambes et à montrer son sexe et son cul au public. La vision de ce cul béant était à la fois une vision horrible et terriblement excitante. L’homme se plaça juste derrière elle, se masturba puis jouit intensément, barbouillant les fesses, la chatte et le cul de Caroline de son jus abondant. L’assistance applaudit à sa juste valeur cette performance. L’homme salua la foule puis se retira par la même petite porte par laquelle il était venu. Le spot éclairant le box de Caroline s’éteignit et la voix métallique demanda aux gens de quitter la pièce. Je profitai de l’obscurité pour me glisser vers les portes d’accès et quitter cette maudite pièce. Complètement désespéré, je me dirigeai vers le bar où je repris un double cognac puis, ne trouvant rien de mieux à faire, je m’écroulais sans force sur le premier divan libre qui accrocha mon regard. Je m’endormis avec la vision de ce cul offert accompagné par le cri de jouissance de Caroline qui, comme un disque rayé, repassait indéfiniment dans mon esprit. Ce soir, je me sentais bien, prête à toutes les extravagances. Je venais juste de quitter Pierre et me dirigeais vers un petit salon près de l’entrée où j’avais repéré tout à l’heure un groupe de jeunes hommes plutôt sexy. J’entrai dans un petit salon et j’aperçus cinq ou six hommes, tous plus mignons les uns que les autres. Ils avaient trois ou quatre minettes assez aguicheuses qui tentaient de s’incruster. Et puis ...
... je tombai sur lui, l’homme mes fantasmes, un magnifique hidalgo péruvien aux cheveux longs. Il était beau comme un dieu avec sa peau mate et ses yeux noirs. Je sentis mon cœur battre la chamade et mon désir grimper en flèche. Je m’approchai de lui et attaquai la conversation bille en tête. Il s’appelait Diego et était originaire du Costa Rica. Il parlait mal le français et notre conversation paraissait bien étrange dans cette salle où l’ambiance commençait à surchauffer. Mes yeux se fixèrent sur son regard de braise et je me collai contre son corps. Il me prit entre ses bras et posa sa main sur mes fesses. À ce moment-là, je sus que c’était gagné, que j’avais su capter son désir. Juste à notre droite, une jeune demoiselle, de vingt ans peut-être, se faisait caresser par deux gaillards particulièrement déterminés. Il commença à jouer avec ma jupe et mon string, exhibant mon cul à tous, tout en m’embrassant. Je n’étais pas gênée, au contraire : quand ma libido est décuplée comme à ce moment-là, j’adore montrer mon corps au plus grand nombre. Diego était tellement grand qu’il devait se courber un peu pour se mettre à mon niveau et me caresser les fesses. Il prononçait des petits mots en espagnol que je ne comprenais pas mais, à son ton, j’imaginais que c’était un peu plus cru que des mots tendres. La façon dont il posa la main sur ma nuque, appuyant avec force, indiquait qu’il voulait que je passe à la vitesse supérieure, ce qui était, de toute façon, mon intention. J’imaginais ...