-
Humiliée
Datte: 11/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge,
Je réveillai mon épouse vers six heures ; elle me demanda pourquoi nous devions nous lever si tôt. - Nous sortons pour la journée, lui précisai-je Nous nous douchâmes ensemble, nous savonnâmes mutuellement ; et avant qu’elle ne se séchât, je lui rasais les grandes lèvres et taillais le reste de sa toison pubienne en forme de cœur dont la pointe effleurait son capuchon. A son grand étonnement, je ne lui imposai aucune tenue vestimentaire ; je lui conseillai juste de ne pas se maquiller. Nous avalâmes un solide petit-déjeuner, avant de quitter notre domicile vers sept heures trente. Nous roulions depuis environ une demi-heure en ce dernier vendredi d’août ; ma belle ignorait notre destination. Nous y arrivâmes peu avant huit heures. Je garai notre voiture à l’orée d’un bois. Cette aventure commença une nuit de fin décembre ; après nous être ébattus intensément pendant plus de deux heures, ma belle avait demandé d’être inondée de sperme. - Maintenant ? lui avais-je dit. - Je veux que mon corps en soit intégralement enduit, avait-elle répondu. Ce ne sera pas possible si tu es seul ; quand tes testicules seront taris, mes seins et mon ventre au grand maximum seront recouverts de ta semence ! Et je veux que tout mon corps soit luisant ! J’avais réalisé l’immensité de son souhait, que moi seul n’aurais pu exaucer. - Es-tu consciente que tu seras humiliée si plusieurs hommes te douchent de sperme ? lui avais-je rétorqué. - C’est une expérience que je veux vivre au moins une fois : ...
... je veux être une femme soumise enduite de semence mâle ! Notre discussion en était restée là ; nous n’avions plus abordé ce sujet depuis lors. Je n’étais cependant pas resté inactif quant à cette requête ; peu après cette discussion en alcôve, j’avais échafaudé un scénario pour la satisfaire. Les scènes détaillées s’étaient précisées après trois mois, puis j’avais prospecté aux alentours de notre domicile pour trouver un lieu insolite, idoine pour satisfaire la demande de mon épouse. Et enfin, j’avais préparé la veille tous les objets et ustensiles spéciaux pour cette journée ; je les avais rangés dans un sac que j’avais enfermé dans le coffre de notre voiture. J’avais même prêté attention au bulletin météorologique télévisé : il était prévu pour le lendemain un temps ensoleillé et une température douce et agréable, dix-sept degrés le matin et vingt-cinq l’après-midi. Nous empruntâmes un large chemin forestier ; nous nous y enfonçâmes sur quelques centaines de mètres ; j’enlaçai et embrassai ma belle, qui me demanda : - Que faisons-nous ici ? Je lui répondis par une question : - Te souviens-tu de la requête que tu a émise il y a plus de six mois ? Alors que je laissais mon épouse chercher la réponse, je me glissais derrière elle et lui dégrafais les boutons de son pantalon que je fis glisser le long de ses jambes : je comptais la dévêtir au milieu de l’allée, elle se laissa faire. Elle balbutia quelques phrases très éloignées de la réponse que j’attendais, je lui retirais son ...