Humiliée
Datte: 11/01/2019,
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Dans la zone rouge,
... franchit les frondaisons qui la cachait, et s’apprêtait à la détacher en la voyant ; elle refusa évidemment, et expliqua qu’elle était sexuellement à sa disposition. Le quadragénaire s’approcha d’elle, en expliquant : - Je n’ai pas beaucoup de temps, donc fais vite ! Il baissa pantalon et caleçon et exigea une fellation. Mon épouse goba la verge, qu’elle pompa pendant de longues minutes. Ce premier partenaire de la journée éjacula dans la bouche de ma belle qui déglutit, demanda ensuite qu’elle nettoyât son sexe luisant de sperme. Elle lécha donc gland, verge et bourses. Il se rajusta, et quitta la scène sans dire un mot. Ce premier mâle de la journée s’était conduit comme un égoïste : il n’avait songé qu’à son plaisir personnel, sans même se préoccuper des attentes de sa partenaire ; pour preuve, il n’avait pas eu la moindre considération pour la poitrine offerte ; de plus, mon épouse était restée assise en sa présence, le goujat n’avait pas souhaité lui demander de se dresser pour admirer l’intégralité des charmes de ma belle. Je savais qu’une simple fellation ne pouvait satisfaire une nymphomane infatigable de son calibre. Plusieurs femmes passèrent sans voir ma belle avant qu’un second homme, d’environ trente celui-ci, se présentât. Elle l’appela et lui précisa qu’il pouvait tout lui demander. Il exigea qu’elle se dressât sur les genoux, et admira sa beauté. - Cette pointe de cœur en forme de flèche est une véritable incitation à la luxure, la félicita-t-il. Il ...
... s’approcha davantage et palpa d’une main les seins offerts ; il eut de nouveaux mots d’admiration : - Bien que ta poitrine soit généreuse, tes seins sont particulièrement fermes ! Et lorsqu’il effleura les aréoles, mon épouse tressaillit. Il eut un nouveau mot gentil : - Et en plus, ils sont sensibles ; tu as vraiment beaucoup de qualités ! Il du se pencher pour glisser son autre main dans la culotte, et un doigt entre les lèvres pour exciter le clitoris. Ma belle émit des soupirs bruyants à chaque respiration ; le trentenaire caressa la vulve plus intensément, les gémissements se firent plus bruyants. L’homme lâcha momentanément les seins pour libérer son sexe. Mon épouse baissa la tête pour sucer la verge ; bien que l’inclinaison de son buste fût limitée, puisque ses bras attachés par les poignets le retenait, la base des ses seins se décolèrent de sa poitrine. Elle aurait pu s’asseoir, mais les caresses sur son sexe auraient alors cessé. Et après de longues minutes, l’homme fit sortir son pénis de la bouche de ma belle et déversa une modique quantité de sa semence sur les seins qui s’agitaient. Le trentenaire se redressa, mon épouse s’assit sur les talons et fit disparaître le sperme du sexe de son partenaire à grands coups de langue. Il se rhabilla, remercia mon épouse et s’en fut. Il était onze heures. La prestation de ce trentenaire était meilleure que celle du quadragénaire, mais restait toutefois insuffisante : le partage des sensations entre les deux partenaires sexuels ...