-
Humiliée
Datte: 11/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge,
... slip : comme elle ne portait pas de chaussettes, elle était dorénavant nue de la taille aux chevilles. Je lui retirais sa chemise et son bustier. Je rangeais tous ces vêtements dans le sac. La durée de l’effeuillage ne fut pas suffisante à ma belle pour trouver la réponse à la question posée ; j’éclairais donc sa lanterne tout en la guidant hors de l’allée. - Les feuillages de ces arbustes masquent ce lieu des passants qui arpenteront le chemin forestier ; en restant ici, tu leur seras donc invisible, expliquai-je Elle resta coite, à l’écoute d’explications complémentaires. Je lui tendis une culotte saumon tout en renchérissant : - Si tu vois passer un homme à ton goût, tu l’appelles pour l’attirer ici. Elle enfila la pièce de lingerie, dont l’élastique enserrait sa taille à quelque trois centimètres sous son nombril. Le tulle léger et transparent écrasait contre sa peau le cœur sculpté dans sa toison, et recouvrait l’intégralité de ses fesses. Je sortis du sac un plaid que j’étalais entre deux arbres distants d’environ deux mètres, j’y fis agenouiller mon épouse ; ses cuisses et son tronc étaient verticaux. Je nouais une cordelette à chacun de ses poignets. - Pourquoi m’attaches-tu ? demanda-t-elle. Je lui rappelais sa requête vieille de quelques mois, en insistant sur sa demande de soumission. Je fixai aux troncs les extrémités libres des cordelettes : je les tendis pour que les bras fussent en croix. - C’était la nuit où je t’ai expliqué que je voulais être douchée de ...
... sperme, réalisa-t-elle. Je l’incitai à écarter les genoux. - Plus, insistai-je. Elle obtempéra. Je tendis de nouvelles cordelettes entre les bases de ses cuisses et les troncs ; je lui fis croiser ses pieds, entravai ses chevilles, retirai ses escarpins que je rangeais dans le sac, et me postai debout face à ma belle pour l’admirer. Le sillon qui séparait ses seins était particulièrement marqué ; sa toison en forme de cœur et son capuchon au dessus de ses petites lèvres qui disparaissaient sous son ventre étaient parfaitement visibles à travers le tulle saumon. Une telle position la rendait clairement vulnérable. Je lui indiquai les consignes : ses amants de passage ne devaient sous aucun prétexte lui dénouer les liens des chevilles ou des genoux ; ils pouvaient lui libérer les poignets à condition des les rattacher avant de la quitter ; enfin ils pouvaient baisser sa culotte sous réserve de la rajuster a la fin des ébats. Bien sur, en qualité de soumise, elle ne devait en aucun cas prendre la moindre initiative, et encore moins proposer quoique ce fût. Je l’embrassai, m’éloignai de quelques dizaines de mètres et pris un poste d’observation hors de vue de mon épouse que je pouvais admirer de trois-quarts de face et qui s’était assise sur les talons : ses bras étaient dorénavant ouverts en V, comme pouvaient l’être ceux d’un tire-bouchon Charles de Gaulle. Il était huit heures trente environ. Ma belle héla le premier passant vers neuf heures. L’homme d’environ quarante ans ...