Humiliée
Datte: 11/01/2019,
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Dans la zone rouge,
... second majeur dans son anus. Et quelques minutes plus tard, elle y agitait quatre doigts. Sa respiration rauque devenait de plus en plus bruyante. Soudain, son corps se cabra : ses cuisses et son tronc reprirent leur position verticale. Elle retint sa respiration tout en agitant frénétiquement ses doigts dans sons anus. Elle reprit sa respiration quelques secondes plus tard, alors que ses doigts remuaient toujours en elle. Elle se cabra une seconde fois, sa respiration cessa quelques secondes. Elle se cabra cinq fois avant qu’elle criât puissamment et que son corps explosât ; ses mains se décolèrent de ses fesses, et se posèrent sur le sol pour lui éviter de perdre son équilibre. Les cordelettes qui fixaient ses genoux aux arbres se tendirent à plusieurs reprises, car elle avait perdu le contrôle des mouvements de ses membres inférieurs pendant plusieurs secondes. Elle s’allongea pendant plusieurs minutes sur le dos, fesses contre ses talons, pour reprendre ses esprits et le contrôle de son corps. Les trois jeunes hommes s’inquiétaient pour elle, et lui demandèrent si elle allait bien. - Pour le mieux, leur répondit-elle. - Que t’est-il arrivé ? demanda l’un d’eux. - Jeunes gens, vous venez d’être témoins d’un puissant orgasme féminin, répondit-elle. Leurs dernières questions prouvaient qu’ils ne connaissaient pas tous les arcanes de l’anatomie féminine. Et la question suivante était surréaliste. - Veux-tu que nous nous arrêtions ? - Certainement pas, répondit ma belle. - On ...
... peut te sauter, insistèrent-ils. - Je vous en supplie ; ne me laissez pas en état de manque ! Elle se redressa en position verticale sur ses genoux ; l’un des trois jeunes hommes s’allongea sur le dos entre les jambes de ma belle qui s’assit sur son bassin pour faire pénétrer la verge dans son vagin. Par manque d’expérience, le jeune éjacula trop vite ; il en fut de même pour ses deux amis. Les jeunes rattachèrent les poignets de ma belle, et rajustèrent sa culotte. - Vous me quittez déjà, s’inquiéta-t-elle. - Pas encore, répondit l’un d’eux ; redresse toi sur tes genoux. Il s’approchèrent d’elle, s’agenouillèrent. Deux d’entre eux saisirent l’élastique de la culotte, alors que le troisième se masturbait. Lorsqu’il aspergea le ventre de ma belle sous son nombril, il remplaça l’un de ses collègues qui tenait la pièce de lingerie décollée du ventre de mon épouse. Ils purent tous les trois envoyer un giclée de semence entre le capuchon et la taille. Ils regardèrent le sperme couler lentement vers le sexe de ma belle. Lorsque les premières gouttes atteignirent le capuchon, ils lâchèrent l’élastique, la semence s’étala entre la taille et les petites lèvres et sur toute la largeur de son abdomen, coincée entre la peau et le tulle. Ils libérèrent une nouvelle fois les poignets de ma belle, qui pratiqua plusieurs fellations ; elle s’enduisit ainsi les cuisses, les mollets, les pieds, le dos et le visage ; elle se shampooina également de sperme. Après la dernière fellation, les trois ...