Glory holes - Histoires de Sexe

Glory holes

... refusent, d’autres qui se donnent, des robes qui remontent au fil du tempo, laissant entrevoir des cuisses ou la naissance de croupes attirantes. On se regarde avec ma chérie, je distingue nettement une lueur d’intérêt dans ses yeux. — Bonsoir messieurs-dames, que puis-je vous servir ! C’est offert par la maison, nous dit le barman.— Bonsoir, deux coupes de champagne, s’il vous plaît ! Nous goûtons le champagne, il est bon. Le décor de l’établissement est chouettos : lumières tamisées, tentures à dominante rouge sur les murs, grand canapé, tables basses avec photophores. Sympa ! Monica a déjà éclusé son verre, je lui en commande un autre. D’habitude, l’alcool la désinhibe. Nous regardons un moment les danseurs, toujours aussi affairés. Un couple s’éclipse. — Tu as vu, les choses sérieuses commencent !— Tu ne crois pas si bien dire, mon chéri ! Regarde à ma droite, j’ai des admirateurs ! En effet, trois types la dévisagent avec insistance, s’attardant sur les formes qu’elle dévoile avec assez d’impudeur. Je suis scié ! — T’es contente ?— C’est agréable de plaire ! Il y en a deux qui ne sont pas mal du tout !— Tu attaques fort ! Je croyais que tu serais stressée, mal à l’aise, mais non !— Le champagne ! dit-elle en levant sa coupe. Tchin !— Eh, vas-y doucement !— Je t’avais prévenu, mon petit mari chéri. Tu as entendu parler de Pandore, n’est-ce pas ?— Calmos beauté, je suis ton mâle Alpha !— Ouais, mais ce soir j’ai envie de me faire tout l’alphabet ! Je jette un regard ...

... assassin à cette femelle lubrique. Elle est assise sur son tabouret, sa robe remontée laisse voir le haut de ses bas et le porte-jarretelles. Elle sirote son champagne en lançant de temps en temps des œillades à ses admirateurs. Putain, ça démarre mal cette soirée, du moins pas comme je l’avais prévu. Je commence à avoir des sueurs, d’autant plus qu’un mec s’est rapproché et commence à lui faire son numéro de charme. Hé ho, il vient de poser sa main sur la cuisse de ma femme ! Je lui souffle à l’oreille : — Monica, si tu veux me rendre jaloux, tu as gagné ! Alors, calme un peu ton admirateur et reviens sur terre, d’accord ? Sinon je m’en occupe moi-même, de l’autre gugusse ! Son sourire en coin et son œil rieur me rassurent un peu, elle se tourne vers son palucheur : — Mon mari dit que je brûle les étapes et comme il m’a demandé ça gentiment : s’il vous plaît, retirez votre main et oubliez-moi… pour l’instant !— Dommage ! À bientôt, sans doute ! fait l’homme en souriant, et il retourne au bout du bar. Nous décidons (moi) d’aller nous asseoir ailleurs. Coupes en main, nous nous faufilons entre quelques couples qui discutent à voix basse et nous nous asseyons dans un angle du grand canapé, après avoir posé nos verres sur la table basse. J’enlace ma femme, elle pose sa tête sur mon épaule et ferme les yeux. J’aime mieux ça ! oOo — Bonsoir, est-ce que vous permettez que nous nous asseyions à côté de vous ? Nous levons les yeux pour apercevoir un couple dans nos âges, souriant. C’est la ...